« Le début syncopé et léger invite aussitôt à la danse. […] Le saxophone alto fera-t-il le dernier pas de danse ? […] Les quatre instruments donnent une belle intensité à l’arrangement de cette Tarantelle sur une chanson folklorique russe écrite à l’origine pour piano. » Emmanuel HODY
« Y’GOUR a été écrite en 2014 et dédiée au duo Jean-Michel et Sophie GOURY, elle implique la flûte en ut et le saxophone soprano ; une confrontation pas toujours simple à négocier en raison des corps de timbre différents malgré la proximité des registres de jeu […] ». François ROSSÉ
« Lors de mes voyages […], je me laisse inspirer par la nature ou des personnes inconnues. En plongeant mon regard […], les mélodies, les rythmes, les harmonies prennent vie […]. Avec ces 6 pièces pour guitare, je vous invite à découvrir quelques-unes de mes images de voyage en France ». Takashi OGAWA
« Nous vous emmenons à travers les styles et les genres dans leur univers musical à la française. Les chansons de Lemarque, Scotto et Piaf croisent les belles harmonies de Debussy, Bizet, Satie, en passant par Baptiste Trotignon et Gabriel Yared... ». Michel Supéra et Éric Comère
« Pièce de caractère brésilien inspirée du monde festif du forró, style musical et danse brésilienne très sensuelle pratiquée en couple. Les événements tournant autour de cette danse étant souvent nocturnes, de petits clins d’œil à la Reine de la nuit se glissent occasionnellement dans le discours musical ». Yves Pignot
« L’incroyable destin du clown « Chocolat », premier artiste noir de la scène française est un film de Roschdy Zem mis en musique par Gabriel Yared. Reconnu mondialement, notamment pour les musiques de 37.2, Tatie Danielle ou le Patient Anglais pour laquelle il obtint un oscar, Gabriel Yared est l’invité en 2018 du 8ème festival du cinéma de Valenciennes. Une étroite collaboration se met en place entre le compositeur et les musiciens du conservatoire de Valenciennes où Michel Supéra est professeur de saxophone. Pour cette occasion, Philippe Portejoie et Michel Supéra réalisent une adaptation de la musique « Chocolat » pour ensemble de saxophones, piano, basse et batterie, saluée par le compositeur. De la gaité à la mélancolie, des larmes aux rires, vous serez transportés au cœur même de ce film aux 5 nominations et 3 césars, (meilleur acteur, son et musique originale) ». Philippe Portejoie & Michel Supéra
« C'est à la suite d'une commande d'un professeur de piano que j'ai composé ces courtes pièces qui abordent le « 3 pour 2 », qui consistent en la superposition de deux rythmes différents, les triolets et les croches ou bien les duolets et les croches ternaires. Bien entendu, au cours de ces six morceaux, j'ai alterné les différentes configurations, passant d'une main à l'autre, le tout pour amener à une parfaite indépendance dans une expression musicale fluide et agréable. Ces pièces divertissantes, apparentées à de courtes études, sont accessibles aux élèves de 1er cycle. » Hervé Pouliquen
« Comme son nom l'indique la pièce est conçue pour que 4 danseurs puissent évoluer dans le silence, avec un quatuor de saxophones qui les mène dans leurs intentions. L'indication métronomique est choisie en fonction de notre notion humaine du comptage du temps, chaque temps durant une seconde. Le quatuor de saxophone serait comme l'inévitable déroulement du temps ne laissant pas le choix aux danseurs de vivre en dehors de cette notion de temps qui passe, compté, organisé comme dans notre civilisation [...] ». Yves Pignot
« La trompette me rappelle ma jeunesse au Japon. Entre 13 et 15 ans, j’en jouais au collège dans un orchestre d’harmonie. Á l’été 2019, j’ai ressorti mon instrument que je n’avais pas touché depuis des années. […] Là, tous mes souvenirs sont revenus en moi […] J’ai alors choisi d’exprimer mes émotions en musique […] Voici mes 10 Farewell Dances (10 Danses d’adieu) ! » Takashi Ogawa
« Cette œuvre à géométrie variable, inspirée du blues, est une commande Buffet-Crampon pour les amoureux du saxophone et du Senzo. Con-Fine-ment oblige, le projet a réuni en avril 2020, 12 saxophonistes d’horizons très différents. Senza confine : en italien « sans bordure ». Nous adorons les jeux de mots et les double-sens. Jouer avec les mots comme avec les notes de musique. Á vous de jouer maintenant ! ». Philippe Portejoie & Michel Supéra
« Quand y’en a pour trois, y’en a pour quatre ! aborde, comme le titre le suggère, la pratique du 4 pour 3 au clavier. Il fait suite à Martingale (basé sur le 3 pour 2) et propose cinq pièces pleines d'expressivité, d'ambiances bigarrées et contrastées. La difficulté du 4 pour 3 est davantage auditive que motrice. Il conviendra de travailler les deux voix superposables d’abord mains séparées et dans le même tempo afin d'en assurer la fluidité et la cohérence lors du jeu à deux mains. Le 1er recueil est destiné à des élèves de niveau cycle 1 et le 2ème à des élèves de niveau cycle 2. » Hervé Pouliquen
« L'enfant se laisse bercer par sa mère après une journée bien remplie. Peu à peu son esprit s'évade, il s'invente une musique bien à lui, qui par moments se mêle à la berceuse. Après moult détours où défilent les multiples impressions de sa journée, le balancement de la chanson maternelle fini par l'apaiser et l'endormir profondément ». Roger Éon
« Polaris, pour violoncelle seul, fût composée entre le 10 juillet et le 8 octobre 2019. La pièce, d'une durée de 6 minutes, comprend trois parties qui s'articulent chacune autour d'éléments définis et distincts. […] L’œuvre est dédiée à l'immense talent d'Alexis Descharmes, qui en a enregistré une version confinée le 12 juin 2020 avant de créer la pièce le 4 octobre à Gradignan dans le cadre du Festival MàD. » Florent Gauthier
« Romance sans parole 2 est un duo dans lequel la guitare reprend son rôle d'accompagnatrice. Il faut veiller à l'égalité et à la fluidité des arpèges sans pour autant perdre la pulsation. La partie violoncelle doit s'exécuter en toute simplicité. C'est une plainte mélancolique qui ne nécessite pas d'effet. Niveau 3 (moyen – cycle 2) ». Urbain RINALDO
« Novelletta constitue l’une des œuvres les plus réussie du grand mandoliniste et compositeur romantique napolitain Raffaele Calace. Elle est présentée ici dans sa version originale et développe une mélodie et un climat harmonique d’une grande finesse qui confère à l’œuvre un caractère singulier ». Vincent BEER-DEMANDER