Sax-sanfona en... 27,49 €
E se alegra no... 9,95 €
Procura a paz na... 9,95 €
Num tango desolado 9,95 €
Chorão suspirando 9,95 €
Allegro 12,80 €
Adagio pour alto... 17,54 €

| PIANISTE-COMPOSITEUR-CHEF D’ORCHESTRE
Gontran Dessagnes (Cholet, 25 mai 1904 - Toulon, 29 juillet 1978) a connu de son vivant une carrière musicale de grande renommée, témoin des bouleversements et des chaos de son époque.
Après son arrivée en Algérie en 1929 pour une tournée de concerts à la radio, il fût, parallèlement à son activité artistique, directeur du conservatoire d’Alger entre 1946 et 1964. Dès sa nomination, il organisa l’enseignement de la musique classique comme un véritable laboratoire d’expérimentation pédagogique tout en préservant le patrimoine authentique, en créant entre-autre des classes de danse, de musique andalouse et de déclamation dramatique en langue arable.
Président fondateur de la société des concerts du conservatoire, à la tête d’un orchestre de cent-vingt musiciens, Gontran Dessagnes contribua à la vitalité de l’action culturelle en utilisant toutes les ressources à sa disposition pour fédérer les expressions multiculturelles autour du langage universel qu’est la musique. La ville d’Alger devint une ville pionnière d’art et de culture.
Comme compositeur, il laissa un patrimoine musical exceptionnel : oratorios, musiques de chambre, musiques de ballet, musiques orchestrales, opéra, concertos…, notamment le fameux Concerto pour deux guitares et orchestre, premier de l’histoire de la musique, écrit à Alger en 1955 pour le prestigieux couple de virtuoses Alexandre Lagoya et Ida Presti et créé en mars 1956, à la salle Gaveau à Paris.
L’ensemble de l’œuvre de Gontran Dessagnes est placé sous le patronage de la Commission française pour l’Unesco et reconnue comme patrimoine « à valoriser et protéger ».
En tant que représentante des ayants-droits de son père, Marybel Dessagnes procède sans relâche à la conservation et à la numérisation de précieuses archives et rédige un mémoire sur le thème inédit : La présence de la musique algérienne dans l'œuvre de Gontran Dessagnes. En 2020, elle devient la directrice artistique du nouveau Centre de recherche, création, production et enseignement musicaux, intitulé La Sphère Gontran Dessagnes, à La Garde.
| Marybel Dessagnes confie la valorisation d’une première œuvre de Gontran Dessagnes à HODY Musique, le 1er juin 2021.
Composée en 1948, la Suite en si mineur est écrite pour trio d'anches. Sous cette forme, elle fut créée presque simultanément en février 1949 à Radio-Algérie et au Studio Aletti dans le cadre des concerts du Conservatoire d'Alger par le trio René Looten, Jean Lapierre et Léopold Icard. En 1954, le compositeur la transcrivit pour orchestre symphonique et elle fut donnée ainsi sous sa direction, le 10 novembre 1957 à la Salle Pierre Bordes. De forme binaire, strictement classique, cette Suite en cinq parties cherche à retrouver l'esprit des clavecinistes français et emploie l'écriture contrapuntique chère à Gontran Dessagnes.
Composée en 1948, la Suite en si mineur est écrite pour trio d'anches. Sous cette forme, elle fut créée presque simultanément en février 1949 à Radio-Algérie et au Studio Aletti dans le cadre des concerts du Conservatoire d'Alger par le trio René Looten, Jean Lapierre et Léopold Icard. En 1954, le compositeur la transcrivit pour orchestre symphonique et elle fut donnée ainsi sous sa direction, le 10 novembre 1957 à la Salle Pierre Bordes. De forme binaire, strictement classique, cette Suite en cinq parties cherche à retrouver l'esprit des clavecinistes français et emploie l'écriture contrapuntique chère à Gontran Dessagnes.
Composée en 1948, la Suite en si mineur est écrite pour trio d'anches. Sous cette forme, elle fut créée presque simultanément en février 1949 à Radio-Algérie et au Studio Aletti dans le cadre des concerts du Conservatoire d'Alger par le trio René Looten, Jean Lapierre et Léopold Icard. En 1954, le compositeur la transcrivit pour orchestre symphonique et elle fut donnée ainsi sous sa direction, le 10 novembre 1957 à la Salle Pierre Bordes. De forme binaire, strictement classique, cette Suite en cinq parties cherche à retrouver l'esprit des clavecinistes français et emploie l'écriture contrapuntique chère à Gontran Dessagnes.
Composée en 1948, la Suite en si mineur est écrite pour trio d'anches. Sous cette forme, elle fut créée presque simultanément en février 1949 à Radio-Algérie et au Studio Aletti dans le cadre des concerts du Conservatoire d'Alger par le trio René Looten, Jean Lapierre et Léopold Icard. En 1954, le compositeur la transcrivit pour orchestre symphonique et elle fut donnée ainsi sous sa direction, le 10 novembre 1957 à la Salle Pierre Bordes. De forme binaire, strictement classique, cette Suite en cinq parties cherche à retrouver l'esprit des clavecinistes français et emploie l'écriture contrapuntique chère à Gontran Dessagnes.
Composée en 1948, la Suite en si mineur est écrite pour trio d'anches. Sous cette forme, elle fut créée presque simultanément en février 1949 à Radio-Algérie et au Studio Aletti dans le cadre des concerts du Conservatoire d'Alger par le trio René Looten, Jean Lapierre et Léopold Icard. En 1954, le compositeur la transcrivit pour orchestre symphonique et elle fut donnée ainsi sous sa direction, le 10 novembre 1957 à la Salle Pierre Bordes. De forme binaire, strictement classique, cette Suite en cinq parties cherche à retrouver l'esprit des clavecinistes français et emploie l'écriture contrapuntique chère à Gontran Dessagnes.
Composée en 1948, la Suite en si mineur est écrite pour trio d'anches. Sous cette forme, elle fut créée presque simultanément en février 1949 à Radio-Algérie et au Studio Aletti dans le cadre des concerts du Conservatoire d'Alger par le trio René Looten, Jean Lapierre et Léopold Icard. En 1954, le compositeur la transcrivit pour orchestre symphonique et elle fut donnée ainsi sous sa direction, le 10 novembre 1957 à la Salle Pierre Bordes. De forme binaire, strictement classique, cette Suite en cinq parties cherche à retrouver l'esprit des clavecinistes français et emploie l'écriture contrapuntique chère à Gontran Dessagnes.
Nouveau Il a été composé le 5 février 1949 par Gontran Dessagnes, et créé en 1958 à Alger sous la direction de l'auteur. [...] Œuvre d'expression néoclassique d'une grande pureté de style et d'écriture et d'un sentiment qui exprime la complexité moderne par les moyens d'une sobriété déridée. Le contrepoint qui en est fort intéressant souligne le caprice de la ligne mélodique confiée à l'alto, ligne qui représente ici l'éloquence poétique avec des reprises de souffle judicieusement ménagées. La voix grave de l'Alto traduit une indicible tristesse, et s'anime pour retrouver l'apaisement dans la sérénité. Une œuvre émouvante et grande. Marybel DESSAGNES
Nouveau Il a été composé le 5 février 1949 par Gontran Dessagnes, et créé en 1958 à Alger sous la direction de l'auteur. [...] Œuvre d'expression néoclassique d'une grande pureté de style et d'écriture et d'un sentiment qui exprime la complexité moderne par les moyens d'une sobriété déridée. Le contrepoint qui en est fort intéressant souligne le caprice de la ligne mélodique confiée à l'alto, ligne qui représente ici l'éloquence poétique avec des reprises de souffle judicieusement ménagées. La voix grave de l'Alto traduit une indicible tristesse, et s'anime pour retrouver l'apaisement dans la sérénité. Une œuvre émouvante et grande. Marybel DESSAGNES
Nouveau Ces deux courtes pièces pour alto et piano sont des originaux que Gontran Dessagnes a conçu en 1948, comme "pièces d'essai" avant son projet plus ambitieux d'Adagio pour alto et orchestre à cordes de 1949. Elles sont dédiées à Emile Moëbs, qui était professeur de violon et d'alto aux Beaux-Arts d'Alger où le compositeur, dès son arrivée en 1929, enseigna le piano. [...] Identiquement ternaires et de tempo modéré comparable, ces deux modestes œuvres sont pourtant bien différentes : la première dessine les contours d'une "fausse berceuse", néanmoins tourmentée par les nombreuses modulations éloignées et le changement de registre de l'alto dans l'aigu à la fin. La deuxième présente des rythmiques "à cheval" et des changements de mesures, provoquant asymétries de phrases et surprises dans le discours. Les deux alternent un caractère spontané, une certaine fraîcheur, à une belle tendresse mélancolique un peu surannée. Marybel DESSAGNES