« S’BA en 3 mouvements, pour mandoline et trio à cordes, a été écrite en 2014 et dédiée à Vincent BEER DEMANDER. […] Une tradition populaire (napolitaine entre autres) de la mandoline se lie à une tradition des cordes, qui émerge dès l’époque baroque en Italie aussi. Confluence géographique donc mais distance historique et sociologique […] ». François ROSSÉ
« Chacune des 4 pièces de Las cuatro estaciones (Les quatre saisons) d’Astor PIAZZOLLA porte en elle une énergie mystérieuse aboutissant à des moments intenses d’une force prodigieuse qui emporte l’auditeur. Verano porteño (L’Été), presque inquiétant, tend à l’immobilité, due peut-être à une chaleur accablante… ». Sébastien LEMARCHAND
« Avec une lecture et une exécution aisée […], cette transcription permet une approche de la musique de chambre sans appréhension. Les quatre musiciens de cycle 1 peuvent goûter rapidement aux plaisirs harmoniques du quatuor tout en soignant la justesse et l’équilibre sonore de leur exécution. » Emmanuel HODY
« Il m’a semblé que le caractère sombre et pessimiste de cette œuvre pour piano pouvait convenir aux timbres chatoyants du saxophone et à la sensualité harmonique de son quatuor. […] Une belle page de musique à adapter pour éprouver la sensibilité des jeunes musiciens de cycle 1 […]. » Emmanuel HODY
« Le début syncopé et léger invite aussitôt à la danse. […] Le saxophone alto fera-t-il le dernier pas de danse ? […] Les quatre instruments donnent une belle intensité à l’arrangement de cette Tarantelle sur une chanson folklorique russe écrite à l’origine pour piano. » Emmanuel HODY
« Chacune des 4 pièces de Las cuatro estaciones (les quatre saisons) d’Astor PIAZZOLLA porte en elle une énergie mystérieuse aboutissant à des moments intenses d’une force prodigieuse qui emporte l’auditeur. Primavera porteña (Le Printemps), apparaît comme un réveil progressif de la nature (entrées fuguées)… ». Sébastien LEMARCHAND
« Chacune des 4 pièces de Las cuatro estaciones (les quatre saisons) d’Astor PIAZZOLLA porte en elle une énergie mystérieuse aboutissant à des moments intenses d’une force prodigieuse qui emporte l’auditeur. Otoño porteño (L’Automne), oscille entre une fermeté rythmique et une mélancolie qui paraît improvisée… ». Sébastien LEMARCHAND
« Chacune des 4 pièces de Las cuatro estaciones (les quatre saisons) d’Astor PIAZZOLLA porte en elle une énergie mystérieuse aboutissant à des moments intenses d’une force prodigieuse qui emporte l’auditeur. Invernio porteño (L’Hiver), avec une introduction sombre, ferme le cycle des 4 saisons avec douceur… ». Sébastien LEMARCHAND
« Ce negro spiritual bien connu est l’occasion pour les jeunes saxophonistes d’exprimer à la fois leur personnalité musicale et de faire leurs premiers pas en quatuor. La pulsation lente nécessite déjà un certain contrôle de la colonne d’air et le mouvement imposé par les croches du baryton, facilite l’écoute et la mise en place de l’ensemble ». Emmanuel HODY
« Tiré de la comédie musicale No, No, Nanette, Vincent Youmans, compositeur, était loin d’imaginer que sa chanson serait un énorme succès. […] Voilà une pièce faite sur mesure pour le quatuor de saxophones, idéale à programmer pour une animation musicale festive ! » Emmanuel HODY
« Le saxophone a conquis le cœur du grand public grâce à des solos devenus mythiques […] chez les Beatles (Lady Madonna 1968), Pink Floyd (Money 1973) ou Supertramp (The logical song 1979). Même si ce titre emblématique du groupe ABBA ne possède pas « son solo », l’écriture est particulièrement adaptée à la dynamique d’un quatuor de saxophones […] » Emmanuel Hody
« Le jeune Claude Debussy n’a que 19 ans en 1881, année de la création de Mandoline, et déjà cet élève de César Franck marque les esprits par l’imaginaire de sa musique originale et profonde où souffle un vent de liberté. […] L’œuvre débute sur les cordes à vide de la mandoline et développe rapidement une mélodie évoquant la Florence ou il séjourna quelques mois auparavant. Découragé par les mots de Llobet d’écrire pour la guitare, Debussy pourtant sensible aux cordes pincées, […] évoque la mandoline dans plusieurs compositions pour piano ou orchestre. Génie absolue, son style moderne constitue une véritable révolution musicale qui sera décisive au vingtième siècle ». Vincent BEER-DEMANDER
« Composée pour mandoline ou instrument mélodique et piano, Pièce trouve sa genèse dans une vocalise commandé à Gabriel Fauré vers 1920 par un éditeur désireux de réunir dans un recueil de vocalises les plus grands compositeurs français. L’auteur de Mandoline, célèbre mélodie sur le poème éponyme de Verlaine, décide ensuite de rebaptiser cette vocalise Pièce dans une version instrumentale particulièrement apprécié des salons musicaux parisiens de l’époque où la mandoline se fait remarquer. On y trouve l’évocation de la Venise dont Fauré est passionné, l’originalité, la pureté et l’intériorité musicale qui font de ce compositeur le chef de file de l’École française du XXe siècle musical ». Vincent BEER-DEMANDER
« […] Francisco Tárrega entretenait des liens très étroits avec les guitaristes, bandouristes, mandolinistes, orchestre à plectre espagnols ou français et parmi eux le parisien Jules Cottin, auteur d'une célèbre méthode de mandoline encore usité de nos jours. C'est d'ailleurs aux frères Alfred et Jules Cottin qu'est dédiée l'œuvre la plus fameuse de Tarrega, le Recuerdos de l'Alambra, mélodie expressive composé entièrement en trémolo ». Vincent BEER-DEMANDER
« Novelletta constitue l’une des œuvres les plus réussie du grand mandoliniste et compositeur romantique napolitain Raffaele Calace. Elle est présentée ici dans sa version originale et développe une mélodie et un climat harmonique d’une grande finesse qui confère à l’œuvre un caractère singulier ». Vincent BEER-DEMANDER