« BALIVERNE est une pièce divertissante, pleine de saveurs, comme un moment qui passe, frivole et insaisissable. Surgi des temps immémoriaux, le thème apparait aux violons. Emmenée par le violoncelle, une danse s’ébauche entre les 3 cordes pour revenir à nouveau sur le thème paraphrasé, avant de s’évanouir comme il est venu, aux confins de brumes ancestrales. À déguster à trois… » Emmanuel HÉRAUD
« Dualiloque évoque à la fois la dualité et la complémentarité au sein d'une rencontre. Deux personnages aux caractères bien trempés vont échanger, chacun charmant l'autre avec son propre langage, parfois s'affronter mais toujours dialoguer et finalement s’accepter ». Pascal Rault
« Cette pièce entretient une double ambiguïté : Elle a parfois l’allure d’un tango mais s’en échappe volontairement et lorsque je vous aurais dit que je l’ai écrite au mois d’août, alors vous comprendrez ce dilemme : Tango ou pas tango ? Tango d’août ou tango doute ? […] J’espère qu’un duo complice prendra autant de plaisir à interpréter cette pièce que j’en ai eu moi-même à l’écrire… pour lever définitivement le doute ! » Pascal Rault
« Pour aborder la musique atonale, j'ai voulu utiliser les nouvelles techniques instrumentales apparues au 20° siècle […]. En les utilisant, j'ai eu l’idée de reproduire les sons de la nature puis j’ai abouti naturellement au Haïku, un petit poème très bref visant à dire et célébrer l'évanescence des choses. Bashô en est l'un des grands maîtres. Parmi les nombreux Haïku qui ont été écrits, j'ai choisi ceux qui citent les animaux ou les insectes. Enfin, pour recréer l’atmosphère du 17° siècle où Bashô a vécu, j'ai utilisé au début et à la fin de la pièce, la gamme japonaise avec un petit air modal ». Takashi OGAWA
« Pour aborder la musique atonale, j'ai voulu utiliser les nouvelles techniques instrumentales apparues au 20° siècle […]. En les utilisant, j'ai eu l’idée de reproduire les sons de la nature puis j’ai abouti naturellement au Haïku, un petit poème très bref visant à dire et célébrer l'évanescence des choses. Bashô en est l'un des grands maîtres. Parmi les nombreux Haïku qui ont été écrits, j'ai choisi ceux qui citent les animaux ou les insectes. Enfin, pour recréer l’atmosphère du 17° siècle où Bashô a vécu, j'ai utilisé au début et à la fin de la pièce, la gamme japonaise avec un petit air modal ». Takashi OGAWA
« Pour aborder la musique atonale, j'ai voulu utiliser les nouvelles techniques instrumentales apparues au 20° siècle […]. En les utilisant, j'ai eu l’idée de reproduire les sons de la nature puis j’ai abouti naturellement au Haïku, un petit poème très bref visant à dire et célébrer l'évanescence des choses. Bashô en est l'un des grands maîtres. Parmi les nombreux Haïku qui ont été écrits, j'ai choisi ceux qui citent les animaux ou les insectes. Enfin, pour recréer l’atmosphère du 17° siècle où Bashô a vécu, j'ai utilisé au début et à la fin de la pièce, la gamme japonaise avec un petit air modal ». Takashi OGAWA
« Pour aborder la musique atonale, j'ai voulu utiliser les nouvelles techniques instrumentales apparues au 20° siècle […]. En les utilisant, j'ai eu l’idée de reproduire les sons de la nature puis j’ai abouti naturellement au Haïku, un petit poème très bref visant à dire et célébrer l'évanescence des choses. Bashô en est l'un des grands maîtres. Parmi les nombreux Haïku qui ont été écrits, j'ai choisi ceux qui citent les animaux ou les insectes. Enfin, pour recréer l’atmosphère du 17° siècle où Bashô a vécu, j'ai utilisé au début et à la fin de la pièce, la gamme japonaise avec un petit air modal ». Takashi OGAWA
« Pour aborder la musique atonale, j'ai voulu utiliser les nouvelles techniques instrumentales apparues au 20° siècle […]. En les utilisant, j'ai eu l’idée de reproduire les sons de la nature puis j’ai abouti naturellement au Haïku, un petit poème très bref visant à dire et célébrer l'évanescence des choses. Bashô en est l'un des grands maîtres. Parmi les nombreux Haïku qui ont été écrits, j'ai choisi ceux qui citent les animaux ou les insectes. Enfin, pour recréer l’atmosphère du 17° siècle où Bashô a vécu, j'ai utilisé au début et à la fin de la pièce, la gamme japonaise avec un petit air modal ». Takashi OGAWA