« Espièglerie, optimisme et vitalité. C’était le souhait des responsables de l’association Handi’chiens. Il se trouve que c’était le portrait fidèle d’Amandine. Niveau de difficultés 3/5 (moyen / cycle 2 écoles & conservatoires) ». Alain BARAIGE
« Sous une nuit étoilée de ma région de Tarbes, j’ai pris ma guitare […] Étrangement, des mélodies en formes de valses se sont petit à petit construites sous mes doigts... […] Mon cœur français venait de me transporter vers les musiques de FERRÉ, BREL, PIAF ou BRASSENS que j’écoutais dans ma jeunesse […] ». Takashi OGAWA
« HUNC ASTRA a été écrite en 2007, pour flûtes basse et ut et saxophone basse, à l’occasion de la naissance de Clara dans la famille de Jean-Michel et Sophie GOURY. L’œuvre s’appuie sur le cantus firmus grégorien Hunc astra, tellus, æquora… extrait des secondes vêpres de Noël ». François ROSSÉ
« Cette pièce débute par une valse lente […] suivi d’une section piu vivo faisant apparaître un court thème au piano la rendant très active. [...] La réexposition du thème initial alterne et contraste avec une section vivo, plus âpre et tendue amenant à une partie cadencée. Enfin, la coda molto vivo conclut la pièce de manière éclatante ». Hervé POULIQUEN
« Selon la légende, un chevalier qui se noyait après être tombé à l’eau en cueillant un Wasurenagusa (myosotis) à sa dame, lança la fleur en criant : Ne m’oubliez pas ! Une suite de 4 pièces, de niveau 4/5 (difficile / cycle 3), avec un prologue et un épilogue ». Takashi OGAWA
« Cette pièce m'est venue assez facilement, en improvisant après une période très influencée par la musique sud-américaine et les pièces de Rolland DYENS : Saudade 1, 2, 3 ». Denis ABBATE
« C’est après un atelier d'improvisation libre avec Denis BADAULT, pianiste de jazz, que j’ai créé le thème principal puis l’accompagnement de Nordway. […] Les nombreuses improvisations qui ont suivi au sein du Bad’Octet m’ont permis de faire, évoluer le thème […] avant que l’univers des fjords norvégiens finissent de nourrir mon inspiration ». Denis ABBATE
« J’ai improvisé cette pièce, il y a longtemps, en imaginant le déploiement des résonances acoustiques dans l'espace ou celles des ronds dans l'eau. C’est à partir de cette étape que je commence vraiment à réfléchir à la forme de mes œuvres en prenant mon temps pour les achever ». Denis ABBATE
« La première partie en mineur a été écrite lors d’un constat amoureux douloureux. Sa brièveté m'a donné envie, en suivant les pas de Francisco TÁRREGA, de l'enrichir d'une partie majeure. La pièce a enfin trouvé son équilibre ! ». Denis ABBATE
« J'essayais vainement de travailler ma guitare pour un concours avec mon enfant Aurélien qui avait 2 ans à mes pieds et qui pleurait, lorsque je commençais à improviser quelque chose de gai. Mon enfant s’est calmé puis a éprouvé beaucoup de joie lorsque cette petite valse musette qui tend vers la java est apparue sous mes doigts… ». Denis ABBATE
« Très facile de lecture et d’exécution, cet arrangement s'adresse aux classes les plus représentées dans les petites écoles de musique. Il permettra aux élèves de goûter rapidement aux plaisirs de la pratique collective tout en se concentrant sur la justesse et l’équilibre sonore. Comme dans beaucoup de configuration de ce type, l’écriture en accords du piano soutient l’ensemble ». Emmanuel HODY
« Avec une lecture et une exécution aisée […], cette transcription permet une approche de la musique de chambre sans appréhension. Les quatre musiciens de cycle 1 peuvent goûter rapidement aux plaisirs harmoniques du quatuor tout en soignant la justesse et l’équilibre sonore de leur exécution. » Emmanuel HODY
« Maintenu tout au long du morceau, le rythme irrégulier en croches (3+3+2+2) donne une expression jubilatoire à ce 4 mains. […] Les 2 thèmes principaux en sol min et fa min réapparaissent successivement en si majeur et sol mineur avant une conclusion affirmée. » Hervé POULIQUEN
« Chacune des 4 pièces de Las cuatro estaciones (les quatre saisons) d’Astor PIAZZOLLA porte en elle une énergie mystérieuse aboutissant à des moments intenses d’une force prodigieuse qui emporte l’auditeur. Primavera porteña (Le Printemps), apparaît comme un réveil progressif de la nature (entrées fuguées)… ». Sébastien LEMARCHAND