« Cette pièce prend des allures de danse primitive autour de l'axe mi. L'homorythmie du début cède à un jeu d'accent, syncopes et polyrythmes, avant un final en scansions verticales. Un parfum du Sacre n'est pas loin ». Étienne ROLIN
« D'un mouvement répétitif et décontracté, un jeu polymodal en sol se dessine. Modes doriens, éoliens et lydiens se manifestent. Un passage en ré, pôle de la dominante, relance l'élan vers le final en sol M / min. Voici un clin d'œil à Philip Glass et l'économie de moyens ». Étienne ROLIN
« Un solo pentaphone en évocation des Oiseaux Tristes du compositeur basque, amène les trois partenaires sur un discours harmonique ponctué par quintes et mouvements parallèles. Une fin en harmonique offre une légèreté bienvenue ». Étienne ROLIN
« Cet hommage à Webern représente l'essence même du titre de l'ensemble des pièces. À chaque membre du quatuor sont confiées 3 notes à développer progressivement. Mais les machines doivent un jour se détraquer ! Le jeu sur l'espace par les grands intervalles septièmes, neuvièmes et l'indispensable triton, donne ce sentiment d'intense apesanteur tonale ». Étienne ROLIN
« Pour conclure ce cahier de quatre hommages, j'ai souhaité regrouper sous forme de flashback, les caractéristiques des morceaux précédents. Répétitions de cellules harmoniquement denses crées un univers de minimalisme en changement organique et continu. L'articulation par axes autour de si et de mi éclaire la partie centrale avec la guitare au premier plan. Le final qui installe un certain calme est un clin d'œil au moment éthéré du troisième hommage à Ravel ». Étienne ROLIN
« La Suite Japonaise est une suite d’images sur la vie quotidienne des familles du vieux japon. Elle débute par une cérémonie solennelle à la japonaise et se termine par une rétrospective nostalgique de cette époque révolue qui laisse la place à un monde moderne ou le temps est compté… ». Takashi OGAWA
« La Suite Japonaise est une suite d’images sur la vie quotidienne des familles du vieux japon. Elle débute par une cérémonie solennelle à la japonaise et se termine par une rétrospective nostalgique de cette époque révolue qui laisse la place à un monde moderne ou le temps est compté… ». Takashi OGAWA
« La Suite Japonaise est une suite d’images sur la vie quotidienne des familles du vieux japon. Elle débute par une cérémonie solennelle à la japonaise et se termine par une rétrospective nostalgique de cette époque révolue qui laisse la place à un monde moderne ou le temps est compté… ». Takashi OGAWA
« La Suite Japonaise est une suite d’images sur la vie quotidienne des familles du vieux japon. Elle débute par une cérémonie solennelle à la japonaise et se termine par une rétrospective nostalgique de cette époque révolue qui laisse la place à un monde moderne ou le temps est compté… ». Takashi OGAWA
« La Suite Japonaise est une suite d’images sur la vie quotidienne des familles du vieux japon. Elle débute par une cérémonie solennelle à la japonaise et se termine par une rétrospective nostalgique de cette époque révolue qui laisse la place à un monde moderne ou le temps est compté… ». Takashi OGAWA
« Provenant de l’exemplaire autographe d’un particulier piémontais, cette « Serenatella » pour mandoline de Pietro Mascagni, dédiée à « la très aimable demoiselle Daria Giacomelli », a récemment refait surface. Selon Cesare Orselli, musicologue spécialiste du compositeur, l’œuvre remonte au tout début des années 1880. Cette romance composée comme une « petite sérénade » préfigure le prélude de l’acte I de Guglielmo Ratcliff, sombre drame de Heine chargé d’un potentiel émotionnel fondamental et moment fort de l’opéra romantique italien […] ». Vincent BEER-DEMANDER
« Ce cahier de quatre hommages est dédié à Vincent Beer-Demander et au Quatuor à Plectres de France. L'illustration de couverture Black Rosace est une recherche de nuances infimes d'une même palette réduite. Cordes frottées, grattées et griffées... Tout est dans la variété du contrepoint d'articulation et de texture. » Étienne Rolin
« La Suite Japonaise est une suite d’images sur la vie quotidienne des familles du vieux japon. Elle débute par une cérémonie solennelle à la japonaise et se termine par une rétrospective nostalgique de cette époque révolue qui laisse la place à un monde moderne ou le temps est compté… ». Takashi Ogawa
« Comme son nom l'indique la pièce est conçue pour que 4 danseurs puissent évoluer dans le silence, avec un quatuor de saxophones qui les mène dans leurs intentions. L'indication métronomique est choisie en fonction de notre notion humaine du comptage du temps, chaque temps durant une seconde. Le quatuor de saxophone serait comme l'inévitable déroulement du temps ne laissant pas le choix aux danseurs de vivre en dehors de cette notion de temps qui passe, compté, organisé comme dans notre civilisation [...] ». Yves Pignot
« Ce quatuor de caractère brésilien est inspiré du forró. La fête tropicale et la sensualité de la chaleur d'été sont là. L'envie de danser, d'être en sueur le temps d'une soirée dansante. Le titre pourrait être traduit par comme je désire ! ». Yves Pignot