| GUITARISTE-AUTEUR-COMPOSITEUR
Né au Japon, le 9 novembre 1960 à Yamaguchi, Takashi OGAWA arrive en Europe à 18 ans pour suivre les cours de guitare de Hector QUINE et étudier l’analyse musicale et l'interprétation avec Joan KEMP-POTTER à la Guildhall School of Music and Drama à Londres.
En 1981, il travaille avec Andrés SEGOVIA à Grenade et entre peu après à l'École Normale de Musique de Paris où il suit les cours de guitare auprès de Rafael ANDIA et Alberto PONCE.
En 1985, il obtient un premier prix de guitare au Conservatoire National de Région d’Aubervilliers-La Courneuve dans la classe d’Alberto PONCE. Il poursuit ensuite des études d’harmonie et de contrepoint auprès de Gérard CASTAGNET, Jean-Michel BARDEZ et Pierrette MARI.
Lauréat de plusieurs concours internationaux, il entreprend des travaux de composition aussitôt joués et enregistrés en France, Allemagne, Italie, États-Unis, Argentine, Brésil, Japon et inscrits aux programmes d’examens de conservatoires et concours internationaux.
En 1995, le Japon lui décerne le prix « Takéi » pour sa composition Élégie pour la stèle d’un inconnu.
La curiosité et l’inventivité musicale de Takashi OGAWA lui inspirent des pièces de styles très variés, allant de l’écriture classique à la plus contemporaine. S’il consacre un très grand nombre de ses compositions à la guitare, il n’en écrit pas moins pour toutes sortes de combinaisons instrumentales ainsi que pour orchestre et se passionne tout autant pour l’écriture à caractère pédagogique.
Discographie
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| Takashi OGAWA fait confiance à HODY Musique depuis le 19 octobre 2017.
« J’ai créé ces cinq histoires brèves pour permettre aux élèves bassonistes de cycle 1 d’aborder la musique atonale de manière ludique et expressive. Le concept s’appuie sur un petit texte au-dessus des notes qui sert à donner vie aux fragments musicaux. Demandez-moi de lire, vous saurez comme je joue ! ». Takashi Ogawa
« J’ai créé ces cinq histoires brèves pour permettre aux élèves bassonistes de cycle 1 d’aborder la musique atonale de manière ludique et expressive. Le concept s’appuie sur un petit texte au-dessus des notes qui sert à donner vie aux fragments musicaux. Demandez-moi de lire, vous saurez comme je joue ! ». Takashi Ogawa
« APOLLON, charmé par le son que rendait l'arc de Diane en se détendant, aurait imaginé lui adjoindre d'autres cordes... Instruments de légende aux sonorités envoûtantes, la Grande harpe et la harpe celtique nous font découvrir de nouvelles Images de voyage en nous entraînant dans un diaporama de nature aux formes bien différentes ». Takashi OGAWA
« APOLLON, charmé par le son que rendait l'arc de Diane en se détendant, aurait imaginé lui adjoindre d'autres cordes... Instruments de légende aux sonorités envoûtantes, la Grande harpe et la harpe celtique nous font découvrir de nouvelles Images de voyage en nous entraînant dans un diaporama de nature aux formes bien différentes ». Takashi OGAWA
« APOLLON, charmé par le son que rendait l'arc de Diane en se détendant, aurait imaginé lui adjoindre d'autres cordes... Instruments de légende aux sonorités envoûtantes, la Grande harpe et la harpe celtique nous font découvrir de nouvelles Images de voyage en nous entraînant dans un diaporama de nature aux formes bien différentes ». Takashi OGAWA
« APOLLON, charmé par le son que rendait l'arc de Diane en se détendant, aurait imaginé lui adjoindre d'autres cordes... Instruments de légende aux sonorités envoûtantes, la Grande harpe et la harpe celtique nous font découvrir de nouvelles Images de voyage en nous entraînant dans un diaporama de nature aux formes bien différentes ». Takashi OGAWA
« La Suite Japonaise est une suite d’images sur la vie quotidienne des familles du vieux japon. Elle débute par une cérémonie solennelle à la japonaise et se termine par une rétrospective nostalgique de cette époque révolue qui laisse la place à un monde moderne ou le temps est compté… ». Takashi OGAWA
« La Suite Japonaise est une suite d’images sur la vie quotidienne des familles du vieux japon. Elle débute par une cérémonie solennelle à la japonaise et se termine par une rétrospective nostalgique de cette époque révolue qui laisse la place à un monde moderne ou le temps est compté… ». Takashi OGAWA
« La Suite Japonaise est une suite d’images sur la vie quotidienne des familles du vieux japon. Elle débute par une cérémonie solennelle à la japonaise et se termine par une rétrospective nostalgique de cette époque révolue qui laisse la place à un monde moderne ou le temps est compté… ». Takashi OGAWA
« La Suite Japonaise est une suite d’images sur la vie quotidienne des familles du vieux japon. Elle débute par une cérémonie solennelle à la japonaise et se termine par une rétrospective nostalgique de cette époque révolue qui laisse la place à un monde moderne ou le temps est compté… ». Takashi OGAWA
« La Suite Japonaise est une suite d’images sur la vie quotidienne des familles du vieux japon. Elle débute par une cérémonie solennelle à la japonaise et se termine par une rétrospective nostalgique de cette époque révolue qui laisse la place à un monde moderne ou le temps est compté… ». Takashi OGAWA
« Pour aborder la musique atonale, j'ai voulu utiliser les nouvelles techniques instrumentales apparues au 20° siècle […]. En les utilisant, j'ai eu l’idée de reproduire les sons de la nature puis j’ai abouti naturellement au Haïku, un petit poème très bref visant à dire et célébrer l'évanescence des choses. Bashô en est l'un des grands maîtres. Parmi les nombreux Haïku qui ont été écrits, j'ai choisi ceux qui citent les animaux ou les insectes. Enfin, pour recréer l’atmosphère du 17° siècle où Bashô a vécu, j'ai utilisé au début et à la fin de la pièce, la gamme japonaise avec un petit air modal ». Takashi OGAWA
« Pour aborder la musique atonale, j'ai voulu utiliser les nouvelles techniques instrumentales apparues au 20° siècle […]. En les utilisant, j'ai eu l’idée de reproduire les sons de la nature puis j’ai abouti naturellement au Haïku, un petit poème très bref visant à dire et célébrer l'évanescence des choses. Bashô en est l'un des grands maîtres. Parmi les nombreux Haïku qui ont été écrits, j'ai choisi ceux qui citent les animaux ou les insectes. Enfin, pour recréer l’atmosphère du 17° siècle où Bashô a vécu, j'ai utilisé au début et à la fin de la pièce, la gamme japonaise avec un petit air modal ». Takashi OGAWA
« Pour aborder la musique atonale, j'ai voulu utiliser les nouvelles techniques instrumentales apparues au 20° siècle […]. En les utilisant, j'ai eu l’idée de reproduire les sons de la nature puis j’ai abouti naturellement au Haïku, un petit poème très bref visant à dire et célébrer l'évanescence des choses. Bashô en est l'un des grands maîtres. Parmi les nombreux Haïku qui ont été écrits, j'ai choisi ceux qui citent les animaux ou les insectes. Enfin, pour recréer l’atmosphère du 17° siècle où Bashô a vécu, j'ai utilisé au début et à la fin de la pièce, la gamme japonaise avec un petit air modal ». Takashi OGAWA
« Pour aborder la musique atonale, j'ai voulu utiliser les nouvelles techniques instrumentales apparues au 20° siècle […]. En les utilisant, j'ai eu l’idée de reproduire les sons de la nature puis j’ai abouti naturellement au Haïku, un petit poème très bref visant à dire et célébrer l'évanescence des choses. Bashô en est l'un des grands maîtres. Parmi les nombreux Haïku qui ont été écrits, j'ai choisi ceux qui citent les animaux ou les insectes. Enfin, pour recréer l’atmosphère du 17° siècle où Bashô a vécu, j'ai utilisé au début et à la fin de la pièce, la gamme japonaise avec un petit air modal ». Takashi OGAWA