« Sous une nuit étoilée de ma région de Tarbes, j’ai pris ma guitare […] Étrangement, des mélodies en formes de valses se sont petit à petit construites sous mes doigts... […] Mon cœur français venait de me transporter vers les musiques de FERRÉ, BREL, PIAF ou BRASSENS que j’écoutais dans ma jeunesse […] ». Takashi OGAWA
« Sous une nuit étoilée de ma région de Tarbes, j’ai pris ma guitare […] Étrangement, des mélodies en formes de valses se sont petit à petit construites sous mes doigts... […] Mon cœur français venait de me transporter vers les musiques de FERRÉ, BREL, PIAF ou BRASSENS que j’écoutais dans ma jeunesse […] ». Takashi OGAWA
« Sous une nuit étoilée de ma région de Tarbes, j’ai pris ma guitare […] Étrangement, des mélodies en formes de valses se sont petit à petit construites sous mes doigts... […] Mon cœur français venait de me transporter vers les musiques de FERRÉ, BREL, PIAF ou BRASSENS que j’écoutais dans ma jeunesse […] ». Takashi OGAWA
« Sous une nuit étoilée de ma région de Tarbes, j’ai pris ma guitare […] Étrangement, des mélodies en formes de valses se sont petit à petit construites sous mes doigts... […] Mon cœur français venait de me transporter vers les musiques de FERRÉ, BREL, PIAF ou BRASSENS que j’écoutais dans ma jeunesse […] ». Takashi OGAWA
« PINCH ON WAY a été écrite en 2013 et créée au festival de Chaillol, la même année, par les dédicataires de l’œuvre, Vincent BEER DEMANDER au bouzouki, Thomas KECK à la cithare 1/3 de ton et Eva DEBONNE à la harpe. J’ai toujours été intéressé par la complicité entre des instruments sociologiquement et géographiquement de tradition très diversifiée […] ». François ROSSÉ
« FAIRE DE LANGUE a été écrite en 2008 et créée lors de la semaine de la mandoline en Gironde, la même année, par le trio Vincent BEER DEMANDER et Annick ROBERGEAU aux mandolines et Vanessa DARTIER à la guitare. Les mandolines sont accordées à ¼ de ton de distance […]. Comme dans PINCH ON WAY, ce sont les profondeurs des espaces acoustiques et culturels qui sont développées ». François ROSSÉ
« KAN STRAED GOUEL MALO pour clarinette en sib a été écrite en 2016 pour Céline et Michel DISSEGNA en remerciement de leur accueil lors de ma résidence au conservatoire de Brest. Sur leur initiative, j’ai ainsi découvert la rue Saint-Malo, rue historique et unique témoignage de l’ancienne ville de Brest, presque complètement détruite durant la seconde guerre mondiale ». François ROSSÉ
« S’BA en 3 mouvements, pour mandoline et trio à cordes, a été écrite en 2014 et dédiée à Vincent BEER DEMANDER. […] Une tradition populaire (napolitaine entre autres) de la mandoline se lie à une tradition des cordes, qui émerge dès l’époque baroque en Italie aussi. Confluence géographique donc mais distance historique et sociologique […] ». François ROSSÉ
« Y’GOUR a été écrite en 2014 et dédiée au duo Jean-Michel et Sophie GOURY, elle implique la flûte en ut et le saxophone soprano ; une confrontation pas toujours simple à négocier en raison des corps de timbre différents malgré la proximité des registres de jeu […] ». François ROSSÉ
« HUNC ASTRA a été écrite en 2007, pour flûtes basse et ut et saxophone basse, à l’occasion de la naissance de Clara dans la famille de Jean-Michel et Sophie GOURY. L’œuvre s’appuie sur le cantus firmus grégorien Hunc astra, tellus, æquora… extrait des secondes vêpres de Noël ». François ROSSÉ
« RIPOSTE met à l’honneur les timbres instrumentaux et les combinaisons sonores portées par une abondance de rythmiques bien définies. Une marche vive et rigoureuse […] laisse la place à un 2e mouvement d’abord modéré et souple […] puis très animé […]. Enfin, le final s’élabore petit à petit par superposition rythmique […] avant une conclusion prompte et pétillante […] ». Hervé POULIQUEN
« Au-delà du chiffre cinq évoquant les instruments du quintette, l’expression en cinq sec suggère une pièce à l’esprit spontané, exécutée de façon alerte et sans appel […] Le quintette utilise un thème unique qui s’élargit et se transforme [...] avant une conclusion vigoureuse et chatoyante ». Hervé POULIQUEN
« Cette pièce débute par une valse lente […] suivi d’une section piu vivo faisant apparaître un court thème au piano la rendant très active. [...] La réexposition du thème initial alterne et contraste avec une section vivo, plus âpre et tendue amenant à une partie cadencée. Enfin, la coda molto vivo conclut la pièce de manière éclatante ». Hervé POULIQUEN
« Pièce essentiellement rythmique reposant sur un groove réparti aux deux bassons. Progressivement, la rythmique s’enrichit pour devenir plus saccadée, plus irrégulière où les deux instruments se répondent. Des arrêts soudains viennent interrompre le discours, comme une apnée […] ». Hervé POULIQUEN
« Je suis né près d’Hiroshima, 15 ans après la tragédie. Mes proches m’ont souvent racontés l’histoire de la ville à travers leurs propres vécus […]. Cette œuvre musicale atonale et poétique est l’expression d’un profond sentiment de frayeur et de tristesse qui est en moi |…], que je veux partager pour que l’humanité n’oublie pas et ne revive jamais cela ». Takashi OGAWA