« Ces Cinq petites pièces poétiques et amusantes préparent l’accès au répertoire grâce à une grande variété de climats musicaux, de dynamiques et un rôle mélodique important pour la main gauche. J’ai souhaité également un fort attrait musical pour l’élève ». Nicolas MAZMANIAN
« Écrites entre le 3 et le 12 novembre 2020, les pièces Voici venir..., reflètent l’ambiance du moment. À cette époque, chacun se posait la question du Quand verrons-nous le beau temps ?, Quand retrouverons-nous plus de liberté ? Au détour d’une improvisation, l’idée m’est venue d’exploiter cette envie de voir venir les jours meilleurs, en revivant chacune des saisons jusqu’à obtenir un sentiment de plénitude et de calme enfin retrouvé. […] Une interprétation des quatre pièces sous forme de Suite devra respecter l’ordre des saisons à partir de l’automne. La période vécue y est forcément pour quelque chose... ». Pascal Rault
« Écrites entre le 3 et le 12 novembre 2020, les pièces Voici venir..., reflètent l’ambiance du moment. À cette époque, chacun se posait la question du Quand verrons-nous le beau temps ? Quand retrouverons-nous plus de liberté ? Au détour d’une improvisation, l’idée m’est venue d’exploiter cette envie de voir venir les jours meilleurs, en revivant chacune des saisons jusqu’à obtenir un sentiment de plénitude et de calme enfin retrouvé. […] Une interprétation des quatre pièces sous forme de Suite devra respecter l’ordre des saisons à partir de l’automne. La période vécue y est forcément pour quelque chose... ». Pascal Rault
« La composition de ce Puzzle résonnant s'est déclenchée après avoir écouté le jeu remarquable d'Adélaïde Ferrière. La pièce est venue en une dizaine de jours seulement. Elle est construite autour de trois éléments distincts. […] À la manière d'un puzzle, ces différents éléments s'attireront et s'éloigneront et la résonnance de la pédale du vibraphone amènera le liant qui permettra le déplacement d'une couleur à une autre, d'un élément à un autre. La pièce est dédiée à Adélaïde Ferrière, à son jeu remarquable de sensibilité, de musicalité et de virtuosité ». Florent Gauthier
« Ces deux recueils s’adressent aux jeunes trombonistes de cycle 1 et 2. Chaque recueil contient 5 morceaux écrits dans diverses esthétiques. Du classique au ragtime, en passant par la musique contemporaine et le boogie woogie, les mélodies sont chargées de tendresse, d’émotion, mais aussi d’humour et d’énergie. Les accompagnements de piano ne sont pas difficiles, ce qui donne la possibilité à 2 élèves de jouer ces pièces véritablement en duo. Prenez autant de plaisir à les jouer que j’ai pris à les écrire ! » Gilles Farinone
« Promenade est une pièce pour ensemble de violon, alto, violoncelle, guitare et piano. C'est une commande de professeurs qui désiraient faire jouer des élèves d'instruments et de niveaux différents. Ici les violons et les altos n'utilisent que les cordes à vide pour laisser place au chant nostalgique du violoncelle et aux deux ensembles de guitares. Niveau 2 (facile – cycle 1) ». Urbain RINALDO
« J’ai écrit cette suite pour piano à quatre mains - L’Enfant aux mille parfums -, sur la proposition de Charlotte Campana, directrice du Conservatoire Intercommunal de la Provence Verte, à Brignoles (83), et des professeurs du département piano […]. Blue square est une pièce très énergique avec des sonorités blues et rock. Au raffinement de la première pièce s’oppose ici une pièce martiale et pleine d’humour. C’est l’occasion pour les pianistes de se défouler ! ». Nicolas Mazmanian
« Double Chœur pour ensemble de saxophones (2 sextettes) a été créé à l’église Saint-MERRI à Paris en février 2009. C’est une commande de l’association Saxiana pour le troisième Festival Saxophones en Fête. Le concept de ce double Chœur est celui utilisé par Giovanni GABRIELI, c’est à dire l’effet impressionnant des chœurs alternés ou en écho. […] Ici, une partie facile peut-être jouée par des saxophonistes débutants en 2ème année ». Philippe Portejoie
« Quand y’en a pour trois, y’en a pour quatre ! aborde, comme le titre le suggère, la pratique du 4 pour 3 au clavier. Il fait suite à Martingale (basé sur le 3 pour 2) et propose cinq pièces pleines d'expressivité, d'ambiances bigarrées et contrastées. La difficulté du 4 pour 3 est davantage auditive que motrice. Il conviendra de travailler les deux voix superposables d’abord mains séparées et dans le même tempo afin d'en assurer la fluidité et la cohérence lors du jeu à deux mains. Le 1er recueil est destiné à des élèves de niveau cycle 1 et le 2ème à des élèves de niveau cycle 2. » Hervé Pouliquen
« Les lignes de fuite guident le regard de l’observateur. Elles donnent de la profondeur à la représentation visuelle, en amenant les yeux à les suivre jusqu’au bout de l’image. Leur convergence les entraîne à se rejoindre en un seul point, souvent à l’horizon. […] Ces lignes de fuite sont elles-mêmes figées dans le bois des lames du xylophone (lignum en latin = bois) conséquences ultimes de la poétique d’un temps à jamais disparu… ». Marybel Dessagnes
« Ouroboros a été créée dans l’esprit de l’ouverture orchestrale d’un poème symphonique. L’objectif était de composer une œuvre aussi importante et stimulante que celle que l’on trouve dans la littérature orchestrale classique. La pièce commence par une section lente et lyrique, dont le tempo et la dynamique progressent à travers une série de variations suivies par une période apocalyptique revenant au sujet d’ouverture. Le climax de l’œuvre se produit immédiatement avant l’épilogue. Ouroboros faire référence à la structure de la composition qui nous ramène au thème initial ». Philip DeWalt
« Barcaróla provient d’un ensemble d’études pour piano que j’ai composées à l’origine pour des instruments ayant moins de 61 touches comme de nombreux claviers électriques. Je les ai appelés Etuditinas. J’ai copié l’idée sur la célèbre série d’études de piano du compositeur français Charles-Valentin Morhange dit Alkan (1813-1888). Influencé par la merveilleuse étude en La bémol Majeur pour la main droite, j’ai composé Barcaróla pour deux mandolines ». Philip DeWalt
« Ce Deuxième livre pour piano, est consacré aux Parfums d'enfance, à ces souvenirs qui font de nous ce que nous sommes aujourd'hui. Tous ces parfums et toutes ces émotions se côtoient ici, dans un recueil où j'ai tenté de réunir quelques odeurs - pas toujours agréables -, mais où le jeu est prédominant. Ce recueil de 10 pièces est dédié aux trois pianistes qui jouent régulièrement ma musique : Christelle Abinasr, Flore Dupuy-Martin et Géraldine Dutroncy ». Florent Gauthier
« Cette adaptation du 1er mouvement de la Symphonie n° 40 de W.- A. Mozart est une belle façon pour les guitaristes d'entrer dans l'univers classique de ce compositeur majeur de l'histoire de la musique. Il y a de nombreux virtuoses de la guitare de cette période qui ont écrit de très belles pages musicales s'inspirant de Mozart et même parfois citant ses thèmes d'opéra. On pense bien sûr à Fernando Sor (1778-1839) et ses Variations sur un thème de la Flûte enchantée opus 9 qui en sont le plus bel exemple. La tonalité originale de sol mineur est transposée en la mineur afin de se retrouver en terrain connu et de profiter au maximum de la tessiture de la guitare. Tout semble écrit pour l'instrument et un ensemble de fin de cycle II pourra s'aventurer dans ce premier mouvement plein de surprises ». Sébastien Lemarchand
« Cette proposition est un hommage à Jean-Marie Londeix pour ses 88 ans. C’est grâce à notre rencontre à Bordeaux en 1977, alors que j’étais encore élève d’Olivier Messiaen, que j’ai découvert l’espace du saxophone. De notre collaboration est né Frêne égaré, ma première œuvre pour saxophone que Jean-Marie Londeix a défendu au congrès de Chicago en 1978, puis Spath […) et de nombreuses autres œuvres et projets ont suivi... Une amitié solide s’est établit entre-nous et c’est avec émotion et plaisir que j’ai conçu cet hommage. JML 88 s’appuie sur le nom de Jean-Marie Londeix et insère un petit extrait du Frêne égaré […]. Elle suggère la grande culture et l’ouverture d’esprit de cet artiste. Elle a été créée par le saxophoniste Wisuwat Pruksavanich en 2020 […] ». François Rossé