« Les Soldatines sont avant tout un clin d'œil humoristique à un univers militaire imaginaire. Les trois pièces qui les constituent ont en commun une écriture traditionnelle où se mêlent des éléments de techniques de jeu contemporaines. Ceux-ci peuvent être considérés comme perturbateurs dans le sens où ils entravent une marche réglée et organisée. Ils sont le grain de sable dans un rouage huilé, une part de flou dans un système ordonné et rigide. Mais avant toute chose, le but des Soldatines étant de faire en sorte que les systèmes d'écriture se fondent dans un tout cohérent pour mieux servir l'intention musicale ». Bernard MAGNY
« Les Soldatines sont avant tout un clin d'œil humoristique à un univers militaire imaginaire. Les trois pièces qui les constituent ont en commun une écriture traditionnelle où se mêlent des éléments de techniques de jeu contemporaines. Ceux-ci peuvent être considérés comme perturbateurs dans le sens où ils entravent une marche réglée et organisée. Ils sont le grain de sable dans un rouage huilé, une part de flou dans un système ordonné et rigide. Mais avant toute chose, le but des Soldatines étant de faire en sorte que les systèmes d'écriture se fondent dans un tout cohérent pour mieux servir l'intention musicale ». Bernard MAGNY
« Pour cette suite de 5 pièces brèves, j'ai voulu écrire une musique simple et légère avec une harmonie originelle, ni conventionnelle ni atonale. J'ai pensé aux compositeurs français du Groupe des six. Chaque pièce possède une tonalité ambigüe, pourtant la structure et le rythme sont loin d'être novateurs. Toutes sont liées par l’esprit de scènes imaginaires ». Takashi OGAWA
« Pour cette suite de 5 pièces brèves, j'ai voulu écrire une musique simple et légère avec une harmonie originelle, ni conventionnelle ni atonale. J'ai pensé aux compositeurs français du Groupe des six. Chaque pièce possède une tonalité ambigüe, pourtant la structure et le rythme sont loin d'être novateurs. Toutes sont liées par l’esprit de scènes imaginaires ». Takashi OGAWA
« Pour cette suite de 5 pièces brèves, j'ai voulu écrire une musique simple et légère avec une harmonie originelle, ni conventionnelle ni atonale. J'ai pensé aux compositeurs français du Groupe des six. Chaque pièce possède une tonalité ambigüe, pourtant la structure et le rythme sont loin d'être novateurs. Toutes sont liées par l’esprit de scènes imaginaires ». Takashi OGAWA
« Pour cette suite de 5 pièces brèves, j'ai voulu écrire une musique simple et légère avec une harmonie originelle, ni conventionnelle ni atonale. J'ai pensé aux compositeurs français du Groupe des six. Chaque pièce possède une tonalité ambigüe, pourtant la structure et le rythme sont loin d'être novateurs. Toutes sont liées par l’esprit de scènes imaginaires ». Takashi OGAWA
« Pour cette suite de 5 pièces brèves, j'ai voulu écrire une musique simple et légère avec une harmonie originelle, ni conventionnelle ni atonale. J'ai pensé aux compositeurs français du Groupe des six. Chaque pièce possède une tonalité ambigüe, pourtant la structure et le rythme sont loin d'être novateurs. Toutes sont liées par l’esprit de scènes imaginaires ». Takashi OGAWA
« Pour cette suite de 5 pièces brèves, j'ai voulu écrire une musique simple et légère avec une harmonie originelle, ni conventionnelle ni atonale. J'ai pensé aux compositeurs français du Groupe des six. Chaque pièce possède une tonalité ambigüe, pourtant la structure et le rythme sont loin d'être novateurs. Toutes sont liées par l’esprit de scènes imaginaires ». Takashi OGAWA
« Provenant de l’exemplaire autographe d’un particulier piémontais, cette « Serenatella » pour mandoline de Pietro Mascagni, dédiée à « la très aimable demoiselle Daria Giacomelli », a récemment refait surface. Selon Cesare Orselli, musicologue spécialiste du compositeur, l’œuvre remonte au tout début des années 1880. Cette romance composée comme une « petite sérénade » préfigure le prélude de l’acte I de Guglielmo Ratcliff, sombre drame de Heine chargé d’un potentiel émotionnel fondamental et moment fort de l’opéra romantique italien […] ». Vincent BEER-DEMANDER
« Entre tradition et création, inspirée du répertoire des Balkans, cette Danse balkanique aux rythmes asymétriques nous emmène vers de lointaines contrées... ». Michel Supéra et Éric Comère
« À la croisée des chemins entre Cuba et les États-Unis, La Niña Santa allie subtilement Habanera et Blues mineur. Premiers pas dans l’univers de l’improvisation... ». Michel Supéra et Éric Comère
« Métissage de la rencontre improbable entre Jean-Sébastien Bach et Astor Piazzolla. Quand deux cultures séparées par les siècles s’unissent harmonieusement dans Mea culpa ». Michel Supéra et Éric Comère
« Navigant entre le modèle romantique et le néo-classique français, cette valse Rêves d’enfant nous suggère des pensées pleines d’espoir aux emprunts nostalgiques... ». Michel Supéra et Éric Comère
« Notes ensoleillées d’un doux songe, Saveurs du Sud est une mélodie raffinée, aérienne, évocatrice d’une musique enchanteresse ». Michel Supéra et Éric Comère
« Ce cahier de quatre hommages est dédié à Vincent Beer-Demander et au Quatuor à Plectres de France. L'illustration de couverture Black Rosace est une recherche de nuances infimes d'une même palette réduite. Cordes frottées, grattées et griffées... Tout est dans la variété du contrepoint d'articulation et de texture. » Étienne Rolin