« Cette adaptation du 1er mouvement de la Symphonie n° 40 de W.- A. Mozart est une belle façon pour les guitaristes d'entrer dans l'univers classique de ce compositeur majeur de l'histoire de la musique. Il y a de nombreux virtuoses de la guitare de cette période qui ont écrit de très belles pages musicales s'inspirant de Mozart et même parfois citant ses thèmes d'opéra. On pense bien sûr à Fernando Sor (1778-1839) et ses Variations sur un thème de la Flûte enchantée opus 9 qui en sont le plus bel exemple. La tonalité originale de sol mineur est transposée en la mineur afin de se retrouver en terrain connu et de profiter au maximum de la tessiture de la guitare. Tout semble écrit pour l'instrument et un ensemble de fin de cycle II pourra s'aventurer dans ce premier mouvement plein de surprises ». Sébastien Lemarchand
« Ce duo a été créé à Paris en 2011 par Joshua Hyde et Winnie Huang, deux musiciens australiens. J’ai toujours été intéressé par le rapprochement instrumental de musiciens qui n’ont pas l’habitude de se croiser, souvent plus pour des raisons d’ordre sociologique que musicales. Ainsi, dans cette œuvre, le violon est lié au saxophone impliquant aussi quelques mouvements de scène. C’est probablement par le medium de l’improvisation que m’est apparu cette nécessité d’ouvrir l’espace des rencontres […] ». François Rossé
« Barcaróla provient d’un ensemble d’études pour piano que j’ai composées à l’origine pour des instruments ayant moins de 61 touches comme de nombreux claviers électriques. Je les ai appelés Etuditinas. J’ai copié l’idée sur la célèbre série d’études de piano du compositeur français Charles-Valentin Morhange dit Alkan (1813-1888). Influencé par la merveilleuse étude en La bémol Majeur pour la main droite, j’ai composé Barcaróla pour deux mandolines ». Philip DeWalt
« Sans doute l'une des œuvres les plus populaires du prêtre roux, le Concerto en Do Majeur RV425 est inscrit depuis longtemps déjà au répertoire des mandolinistes. Pourtant, une réduction avec guitare de cette œuvre pour mandoline et cordes manquait encore à l'édition musicale. C'est chose faite avec la présente version […] ». Matthias Collet
« Tout juste diplômé du Conservatoire de Moscou, Sergueï Rachmaninov n'a que 19 ans, en 1892, lorsqu'il compose ses Morceaux de Fantaisie opus 3. Les mots de Tchaïkovsky - Alors, Serioja, il paraît que vous écrivez déjà des chefs-d’œuvre ? - en disent long sur la qualité de ces pièces et le talent du jeune compositeur. L'Élégie, qui ouvre ce cycle pour piano, est un long chant, lyrique et nostalgique, qui semble sourdre de l'âme russe. Dans cette transcription, j'ai cherché à servir autant que possible le texte original, tout en ayant recours aux idiomatismes de la mandoline (trémolo, registre aïgu) et de la guitare (arpèges, cordes à vide). Je tiens particulièrement à remercier Natalia Korsak pour ses conseils et la réalisation des doigtés de la partie de mandoline ». Matthias Collet
« Double Chœur pour ensemble de saxophones (2 sextettes) a été créé à l’église Saint-MERRI à Paris en février 2009. C’est une commande de l’association Saxiana pour le troisième Festival Saxophones en Fête. Le concept de ce double Chœur est celui utilisé par Giovanni GABRIELI, c’est à dire l’effet impressionnant des chœurs alternés ou en écho. […] Ici, une partie facile peut-être jouée par des saxophonistes débutants en 2ème année ». Philippe Portejoie
Composée en 1948, la Suite en si mineur est écrite pour trio d'anches. Sous cette forme, elle fut créée presque simultanément en février 1949 à Radio-Algérie et au Studio Aletti dans le cadre des concerts du Conservatoire d'Alger par le trio René Looten, Jean Lapierre et Léopold Icard. En 1954, le compositeur la transcrivit pour orchestre symphonique et elle fut donnée ainsi sous sa direction, le 10 novembre 1957 à la Salle Pierre Bordes. De forme binaire, strictement classique, cette Suite en cinq parties cherche à retrouver l'esprit des clavecinistes français et emploie l'écriture contrapuntique chère à Gontran Dessagnes.
Composée en 1948, la Suite en si mineur est écrite pour trio d'anches. Sous cette forme, elle fut créée presque simultanément en février 1949 à Radio-Algérie et au Studio Aletti dans le cadre des concerts du Conservatoire d'Alger par le trio René Looten, Jean Lapierre et Léopold Icard. En 1954, le compositeur la transcrivit pour orchestre symphonique et elle fut donnée ainsi sous sa direction, le 10 novembre 1957 à la Salle Pierre Bordes. De forme binaire, strictement classique, cette Suite en cinq parties cherche à retrouver l'esprit des clavecinistes français et emploie l'écriture contrapuntique chère à Gontran Dessagnes.
Composée en 1948, la Suite en si mineur est écrite pour trio d'anches. Sous cette forme, elle fut créée presque simultanément en février 1949 à Radio-Algérie et au Studio Aletti dans le cadre des concerts du Conservatoire d'Alger par le trio René Looten, Jean Lapierre et Léopold Icard. En 1954, le compositeur la transcrivit pour orchestre symphonique et elle fut donnée ainsi sous sa direction, le 10 novembre 1957 à la Salle Pierre Bordes. De forme binaire, strictement classique, cette Suite en cinq parties cherche à retrouver l'esprit des clavecinistes français et emploie l'écriture contrapuntique chère à Gontran Dessagnes.
Composée en 1948, la Suite en si mineur est écrite pour trio d'anches. Sous cette forme, elle fut créée presque simultanément en février 1949 à Radio-Algérie et au Studio Aletti dans le cadre des concerts du Conservatoire d'Alger par le trio René Looten, Jean Lapierre et Léopold Icard. En 1954, le compositeur la transcrivit pour orchestre symphonique et elle fut donnée ainsi sous sa direction, le 10 novembre 1957 à la Salle Pierre Bordes. De forme binaire, strictement classique, cette Suite en cinq parties cherche à retrouver l'esprit des clavecinistes français et emploie l'écriture contrapuntique chère à Gontran Dessagnes.
Composée en 1948, la Suite en si mineur est écrite pour trio d'anches. Sous cette forme, elle fut créée presque simultanément en février 1949 à Radio-Algérie et au Studio Aletti dans le cadre des concerts du Conservatoire d'Alger par le trio René Looten, Jean Lapierre et Léopold Icard. En 1954, le compositeur la transcrivit pour orchestre symphonique et elle fut donnée ainsi sous sa direction, le 10 novembre 1957 à la Salle Pierre Bordes. De forme binaire, strictement classique, cette Suite en cinq parties cherche à retrouver l'esprit des clavecinistes français et emploie l'écriture contrapuntique chère à Gontran Dessagnes.
Composée en 1948, la Suite en si mineur est écrite pour trio d'anches. Sous cette forme, elle fut créée presque simultanément en février 1949 à Radio-Algérie et au Studio Aletti dans le cadre des concerts du Conservatoire d'Alger par le trio René Looten, Jean Lapierre et Léopold Icard. En 1954, le compositeur la transcrivit pour orchestre symphonique et elle fut donnée ainsi sous sa direction, le 10 novembre 1957 à la Salle Pierre Bordes. De forme binaire, strictement classique, cette Suite en cinq parties cherche à retrouver l'esprit des clavecinistes français et emploie l'écriture contrapuntique chère à Gontran Dessagnes.
« Ce trio pour cor d’harmonie, piano et contrebasse fait référence à un épisode biblique de la Genèse. L’histoire d’Agar et de son fils Ismaël, à partir du moment où ils sont chassés de la maison d’Abraham, évoque successivement l’errance, le désespoir le plus absolu […]. Cette pièce a été écrite en 2019 pour les besoins de ma classe de musique de chambre afin de pouvoir faire jouer une formation inédite qui ne bénéficie pas à notre connaissance de répertoire spécifique ». Hervé Rémond
« Au-début des années 2000, j'organisais une audition d’élèves de ma classe de guitare avec ceux d’une classe de violoncelle. Parmi les œuvres au programme, un arrangement d’un menuet en Sol Majeur de J.-S. Bach que j’avais remanié en composant un contre-chant au piano afin d’établir un véritable discours instrumental. […] Récemment, j’ai décidé d’adapter cet arrangement pour flûte et guitare pour finalement arranger 13 duos tirés du 3ème cahier de musique pour Anna-Magdalena Bach de Jean-Sébastien Bach. » Takashi Ogawa
« Au-début des années 2000, j'organisais une audition d’élèves de ma classe de guitare avec ceux d’une classe de violoncelle. Parmi les œuvres au programme, un arrangement d’un menuet en Sol Majeur de J.-S. Bach que j’avais remanié en composant un contre-chant au piano afin d’établir un véritable discours instrumental. […] Récemment, j’ai décidé d’adapter cet arrangement pour flûte et guitare pour finalement arranger 13 duos tirés du 3ème cahier de musique pour Anna-Magdalena Bach de Jean-Sébastien Bach. » Takashi Ogawa