| GUITARISTE-COMPOSITEUR-ARRANGEUR
Guitariste, compositeur et arrangeur né à Córdoba (Argentine), Leonardo Sánchez y débute sa formation musicale jusqu’à l’obtention du Diplôme de professeur de guitare.
Arrivé en France en 1984, il poursuit ses études à Paris (Prix d’Excellence et Licence de musicologie) et étudie le jazz avec Ivan Jullien (arrangement et orchestration) et Pierre Cullaz (guitare et improvisation).
Très tôt, il a arrangé et composé pour divers ensembles, voyageant entre musique classique et populaire. Il a collaboré et enregistré avec de nombreux musiciens, tels que Juan José Mosalini, Michel Portal, Laurent Korcia, Jaïro, Thierry Caens, Patrice Caratini, Marcel Azzolla, Michel Piquemal, Antonio et Pablo Agri, Gianmaria Testa, Alberto Cortéz... se produisant dans de prestigieuses salles : l’Olympia, la Cité de la Musique à Paris, la Philharmonie de Berlin, Konzertgebow d’Amsterdam, Triphony Hall de Tokyo, le Palau de Barcelone, Teatro Colón et San Martín de Buenos Aires, etc.
Leonardo Sánchez a effectué pendant plusieurs années un travail approfondi sur le Tango Argentin traditionnel et contemporain pour différentes formations. Il fut le cofondateur et directeur musical du groupe GOMINA ; directeur et interprète du spectacle « Revolver : el Fantasma del Río de la Plata » avec Jaïro ; également directeur, arrangeur et interprète de « Crime Passionnel » d’Astor Piazzolla et Pierre Philippe avec Jean Guidoni, ou encore arrangeur et interprète de « Paris Tango » de J.J. Mosalini et Horacio Ferrer.
Comme interprète, il se produit régulièrement en duo avec le pianiste Cristian Zárate, en trio avec Esquina de César Stroscio et avec Voyages de Patrice Caratini ou encore Alma Cuarteto, étant aussi invité comme soliste par les orchestres de Normandie, Lille, Picardie, Flandres « I Fiamminghi », Nîmes.
Bercé depuis son enfance par les musiques populaires Latino-Américaines, il a collaboré ou composé pour d’autres artistes tels Mercedes Sosa, Ricardo Miralles ainsi que le légendaire groupe Los Andariegos ou encore Alma Cuarteto.
Depuis 2014, Il est professeur de guitare titulaire dans les conservatoires municipaux du XIIe et XXe arrondissements parisiens.
| Leonardo Sánchez fait confiance à HODY Musique depuis le 5 février 2020.
« Ces moments sonores ont surgi de la sonorité enveloppante et ronde du cor. Cette alchimie parfaite entre douceur et puissance, brillante ou mate, cuivre et étoffée, attire et interpelle instantanément nos ouïes et nos sens. Certaines de ces pièces sont basées sur des rythmes traditionnels d’Argentine. Les carrures sont volontairement modifiées, les parties s’articulant par phrases, comme si l’océan qui nous sépare avait altéré leur apparence...». Leonardo Sánchez
« L’Echo… Mot aux sens multiples qui peut se décliner de diverses manières, littérales, sensorielles voire affectives. Fascination acoustique de l’enfance ; grotte ou simple paroi qui nous renvoie notre propre voix créant un phénomène sonore hypnotique saisissant et inoubliable. Résonnance des musiques et des voyages qui habitent encore nos esprits et nos cœurs […] ». Leonardo Sánchez
« Ces moments sonores ont surgi de la sonorité enveloppante et ronde du cor. Cette alchimie parfaite entre douceur et puissance, brillante ou mate, cuivre et étoffée, attire et interpelle instantanément nos ouïes et nos sens. Certaines de ces pièces sont basées sur des rythmes traditionnels d’Argentine. Les carrures sont volontairement modifiées, les parties s’articulant par phrases, comme si l’océan qui nous sépare avait altéré leur apparence...». Leonardo Sánchez
« Ces moments sonores ont surgi de la sonorité enveloppante et ronde du cor. Cette alchimie parfaite entre douceur et puissance, brillante ou mate, cuivre et étoffée, attire et interpelle instantanément nos ouïes et nos sens. Certaines de ces pièces sont basées sur des rythmes traditionnels d’Argentine. Les carrures sont volontairement modifiées, les parties s’articulant par phrases, comme si l’océan qui nous sépare avait altéré leur apparence...». Leonardo Sánchez
« Ces moments sonores ont surgi de la sonorité enveloppante et ronde du cor. Cette alchimie parfaite entre douceur et puissance, brillante ou mate, cuivre et étoffée, attire et interpelle instantanément nos ouïes et nos sens. Certaines de ces pièces sont basées sur des rythmes traditionnels d’Argentine. Les carrures sont volontairement modifiées, les parties s’articulant par phrases, comme si l’océan qui nous sépare avait altéré leur apparence...». Leonardo Sánchez
« Ces moments sonores ont surgi de la sonorité enveloppante et ronde du cor. Cette alchimie parfaite entre douceur et puissance, brillante ou mate, cuivre et étoffée, attire et interpelle instantanément nos ouïes et nos sens. Certaines de ces pièces sont basées sur des rythmes traditionnels d’Argentine. Les carrures sont volontairement modifiées, les parties s’articulant par phrases, comme si l’océan qui nous sépare avait altéré leur apparence...». Leonardo Sánchez
« Parmi les nombreux rythmes présents dans la musique populaire de mon pays natal, l’Argentine, la chacarera a bercé mon enfance […]. De très grands danseurs m’ont inspiré de nombreuses variantes et façons d’exécuter la chacarera. Pulsación puise dans mes racines et ces rencontres en mêlant quelques éléments d’autres esthétiques comme le classique et le jazz […] L’écriture de cette pièce utilise divers modes de jeu et d’articulation propres à la guitare. Malgré la notion de régularité et de rigueur que sous-entend le titre, le résultat sonore ne doit pas être froidement métronomique mais souple, effaçant le côté strict : les articulations et le discours mélodique devront toujours primer dans l’interprétation ». Leonardo Sánchez
« Ces moments sonores ont surgi de la sonorité enveloppante et ronde du cor. Cette alchimie parfaite entre douceur et puissance, brillante ou mate, cuivre et étoffée, attire et interpelle instantanément nos ouïes et nos sens. Certaines de ces pièces sont basées sur des rythmes traditionnels d’Argentine. Les carrures sont volontairement modifiées, les parties s’articulant par phrases, comme si l’océan qui nous sépare avait altéré leur apparence...». Leonardo Sánchez