« J’ai écrit cette suite pour piano à quatre mains - L’Enfant aux mille parfums -, sur la proposition de Charlotte Campana, directrice du Conservatoire Intercommunal de la Provence Verte, à Brignoles (83), et des professeurs du département piano […]. Danse latine invite les interprètes dans l’imaginaire latin de la danse et de la passion, le tout sous une chaleur accablante… ». Nicolas Mazmanian
« J’ai écrit cette suite pour piano à quatre mains - L’Enfant aux mille parfums -, sur la proposition de Charlotte Campana, directrice du Conservatoire Intercommunal de la Provence Verte, à Brignoles (83), et des professeurs des classes de piano. L’idée était de composer quatre pièces de caractère et d’inspiration très différentes.
Chikako (trad. : L’Enfant aux mille parfums) est directement inspiré de l’univers coloré des dessins animés japonais d’Hayao Miyazaki. C’est une ballade joyeuse et pleine d’insouciance. Le titre Chikako est un prénom Japonais.
Blue square est une pièce très énergique avec des sonorités blues et rock. Au raffinement de la première pièce s’oppose ici une pièce martiale et pleine d’humour. C’est l’occasion pour les pianistes de se défouler !
Valse fait référence à la musique Française par sa légèreté et notamment à un des sommets du quatre mains : Dolly de Gabriel Fauré. Tout ici est - sucreries et viennoiseries -.
Danse latine invite les interprètes dans l’imaginaire latin de la danse et de la passion, le tout sous une chaleur accablante… ». Nicolas Mazmanian
« Écrites entre le 3 et le 12 novembre 2020, les pièces Voici venir..., reflètent l’ambiance du moment. À cette époque, chacun se posait la question du Quand verrons-nous le beau temps ? Quand retrouverons-nous plus de liberté ? Au détour d’une improvisation, l’idée m’est venue d’exploiter cette envie de voir venir les jours meilleurs, en revivant chacune des saisons jusqu’à obtenir un sentiment de plénitude et de calme enfin retrouvé. […] Une interprétation des quatre pièces sous forme de Suite devra respecter l’ordre des saisons à partir de l’automne. La période vécue y est forcément pour quelque chose... ». Pascal Rault
« Écrites entre le 3 et le 12 novembre 2020, les pièces Voici venir..., reflètent l’ambiance du moment. À cette époque, chacun se posait la question du Quand verrons-nous le beau temps ?, Quand retrouverons-nous plus de liberté ? Au détour d’une improvisation, l’idée m’est venue d’exploiter cette envie de voir venir les jours meilleurs, en revivant chacune des saisons jusqu’à obtenir un sentiment de plénitude et de calme enfin retrouvé. […] Une interprétation des quatre pièces sous forme de Suite devra respecter l’ordre des saisons à partir de l’automne. La période vécue y est forcément pour quelque chose... ». Pascal Rault
« Écrites entre le 3 et le 12 novembre 2020, les pièces Voici venir..., reflètent l’ambiance du moment. À cette époque, chacun se posait la question du Quand verrons-nous le beau temps ?, Quand retrouverons-nous plus de liberté ? Au détour d’une improvisation, l’idée m’est venue d’exploiter cette envie de voir venir les jours meilleurs, en revivant chacune des saisons jusqu’à obtenir un sentiment de plénitude et de calme enfin retrouvé. […] Une interprétation des quatre pièces sous forme de Suite devra respecter l’ordre des saisons à partir de l’automne. La période vécue y est forcément pour quelque chose... ». Pascal Rault
« Écrites entre le 3 et le 12 novembre 2020, les pièces Voici venir..., reflètent l’ambiance du moment. À cette époque, chacun se posait la question du Quand verrons-nous le beau temps ?, Quand retrouverons-nous plus de liberté ? Au détour d’une improvisation, l’idée m’est venue d’exploiter cette envie de voir venir les jours meilleurs, en revivant chacune des saisons jusqu’à obtenir un sentiment de plénitude et de calme enfin retrouvé. […] Une interprétation des quatre pièces sous forme de Suite devra respecter l’ordre des saisons à partir de l’automne. La période vécue y est forcément pour quelque chose... ». Pascal Rault
« Écrites entre le 3 et le 12 novembre 2020, les pièces Voici venir..., reflètent l’ambiance du moment. À cette époque, chacun se posait la question du Quand verrons-nous le beau temps ?, Quand retrouverons-nous plus de liberté ? Au détour d’une improvisation, l’idée m’est venue d’exploiter cette envie de voir venir les jours meilleurs, en revivant chacune des saisons jusqu’à obtenir un sentiment de plénitude et de calme enfin retrouvé. […] Une interprétation des quatre pièces sous forme de Suite devra respecter l’ordre des saisons à partir de l’automne. La période vécue y est forcément pour quelque chose... ». Pascal Rault
Composée en 1948, la Suite en si mineur est écrite pour trio d'anches. Sous cette forme, elle fut créée presque simultanément en février 1949 à Radio-Algérie et au Studio Aletti dans le cadre des concerts du Conservatoire d'Alger par le trio René Looten, Jean Lapierre et Léopold Icard. En 1954, le compositeur la transcrivit pour orchestre symphonique et elle fut donnée ainsi sous sa direction, le 10 novembre 1957 à la Salle Pierre Bordes. De forme binaire, strictement classique, cette Suite en cinq parties cherche à retrouver l'esprit des clavecinistes français et emploie l'écriture contrapuntique chère à Gontran Dessagnes.
Composée en 1948, la Suite en si mineur est écrite pour trio d'anches. Sous cette forme, elle fut créée presque simultanément en février 1949 à Radio-Algérie et au Studio Aletti dans le cadre des concerts du Conservatoire d'Alger par le trio René Looten, Jean Lapierre et Léopold Icard. En 1954, le compositeur la transcrivit pour orchestre symphonique et elle fut donnée ainsi sous sa direction, le 10 novembre 1957 à la Salle Pierre Bordes. De forme binaire, strictement classique, cette Suite en cinq parties cherche à retrouver l'esprit des clavecinistes français et emploie l'écriture contrapuntique chère à Gontran Dessagnes.
Composée en 1948, la Suite en si mineur est écrite pour trio d'anches. Sous cette forme, elle fut créée presque simultanément en février 1949 à Radio-Algérie et au Studio Aletti dans le cadre des concerts du Conservatoire d'Alger par le trio René Looten, Jean Lapierre et Léopold Icard. En 1954, le compositeur la transcrivit pour orchestre symphonique et elle fut donnée ainsi sous sa direction, le 10 novembre 1957 à la Salle Pierre Bordes. De forme binaire, strictement classique, cette Suite en cinq parties cherche à retrouver l'esprit des clavecinistes français et emploie l'écriture contrapuntique chère à Gontran Dessagnes.
Composée en 1948, la Suite en si mineur est écrite pour trio d'anches. Sous cette forme, elle fut créée presque simultanément en février 1949 à Radio-Algérie et au Studio Aletti dans le cadre des concerts du Conservatoire d'Alger par le trio René Looten, Jean Lapierre et Léopold Icard. En 1954, le compositeur la transcrivit pour orchestre symphonique et elle fut donnée ainsi sous sa direction, le 10 novembre 1957 à la Salle Pierre Bordes. De forme binaire, strictement classique, cette Suite en cinq parties cherche à retrouver l'esprit des clavecinistes français et emploie l'écriture contrapuntique chère à Gontran Dessagnes.
Composée en 1948, la Suite en si mineur est écrite pour trio d'anches. Sous cette forme, elle fut créée presque simultanément en février 1949 à Radio-Algérie et au Studio Aletti dans le cadre des concerts du Conservatoire d'Alger par le trio René Looten, Jean Lapierre et Léopold Icard. En 1954, le compositeur la transcrivit pour orchestre symphonique et elle fut donnée ainsi sous sa direction, le 10 novembre 1957 à la Salle Pierre Bordes. De forme binaire, strictement classique, cette Suite en cinq parties cherche à retrouver l'esprit des clavecinistes français et emploie l'écriture contrapuntique chère à Gontran Dessagnes.
Composée en 1948, la Suite en si mineur est écrite pour trio d'anches. Sous cette forme, elle fut créée presque simultanément en février 1949 à Radio-Algérie et au Studio Aletti dans le cadre des concerts du Conservatoire d'Alger par le trio René Looten, Jean Lapierre et Léopold Icard. En 1954, le compositeur la transcrivit pour orchestre symphonique et elle fut donnée ainsi sous sa direction, le 10 novembre 1957 à la Salle Pierre Bordes. De forme binaire, strictement classique, cette Suite en cinq parties cherche à retrouver l'esprit des clavecinistes français et emploie l'écriture contrapuntique chère à Gontran Dessagnes.
« Ce trio pour cor d’harmonie, piano et contrebasse fait référence à un épisode biblique de la Genèse. L’histoire d’Agar et de son fils Ismaël, à partir du moment où ils sont chassés de la maison d’Abraham, évoque successivement l’errance, le désespoir le plus absolu […]. Cette pièce a été écrite en 2019 pour les besoins de ma classe de musique de chambre afin de pouvoir faire jouer une formation inédite qui ne bénéficie pas à notre connaissance de répertoire spécifique ». Hervé Rémond
« Ces deux recueils s’adressent aux jeunes trombonistes de cycle 1 et 2. Chaque recueil contient 5 morceaux écrits dans diverses esthétiques. Du classique au ragtime, en passant par la musique contemporaine et le boogie woogie, les mélodies sont chargées de tendresse, d’émotion, mais aussi d’humour et d’énergie. Les accompagnements de piano ne sont pas difficiles, ce qui donne la possibilité à 2 élèves de jouer ces pièces véritablement en duo. Prenez autant de plaisir à les jouer que j’ai pris à les écrire ! » Gilles Farinone