PIANISTE-COMPOSITEUR-CHEF D'ORCHESTRE
Gontran Dessagnes (Cholet, 25 mai 1904 - Toulon, 29 juillet 1978) a connu de son vivant une carrière musicale de grande renommée, témoin des bouleversements et des chaos de son époque.
Après son arrivée en Algérie en 1929 pour une tournée de concerts à la radio, il fût, parallèlement à son activité artistique, directeur du conservatoire d’Alger entre 1946 et 1964. Dès sa nomination, il organisa l’enseignement de la musique classique comme un véritable laboratoire d’expérimentation pédagogique tout en préservant le patrimoine authentique, en créant entre-autre des classes de danse, de musique andalouse et de déclamation dramatique en langue arable.
Président fondateur de la société des concerts du conservatoire, à la tête d’un orchestre de cent-vingt musiciens, Gontran Dessagnes contribua à la vitalité de l’action culturelle en utilisant toutes les ressources à sa disposition pour fédérer les expressions multiculturelles autour du langage universel qu’est la musique. La ville d’Alger devint une ville pionnière d’art et de culture.
Comme compositeur, il laissa un patrimoine musical exceptionnel : oratorios, musiques de chambre, musiques de ballet, musiques orchestrales, opéra, concertos…, notamment le fameux Concerto pour deux guitares et orchestre, premier de l’histoire de la musique, écrit à Alger en 1955 pour le prestigieux couple de virtuoses Alexandre Lagoya et Ida Presti et créé en mars 1956, à la salle Gaveau à Paris.
L’ensemble de l’œuvre de Gontran Dessagnes est placé sous le patronage de la Commission française pour l’Unesco et reconnue comme patrimoine « à valoriser et protéger ».
En tant que représentante des ayants-droits de son père, Marybel Dessagnes procède sans relâche à la conservation et à la numérisation de précieuses archives et rédige un mémoire sur le thème inédit : La présence de la musique algérienne dans l'œuvre de Gontran Dessagnes. En 2020, elle devient la directrice artistique du nouveau Centre de recherche, création, production et enseignement musicaux, intitulé La Sphère Gontran Dessagnes, à La Garde.
| Marybel Dessagnes confie la valorisation d’une première œuvre de Gontran Dessagnes à HODY Musique, le 1er juin 2021.
Composée en 1948, la Suite en si mineur est écrite pour trio d'anches. Sous cette forme, elle fut créée presque simultanément en février 1949 à Radio-Algérie et au Studio Aletti dans le cadre des concerts du Conservatoire d'Alger par le trio René Looten, Jean Lapierre et Léopold Icard. En 1954, le compositeur la transcrivit pour orchestre symphonique et elle fut donnée ainsi sous sa direction, le 10 novembre 1957 à la Salle Pierre Bordes. De forme binaire, strictement classique, cette Suite en cinq parties cherche à retrouver l'esprit des clavecinistes français et emploie l'écriture contrapuntique chère à Gontran Dessagnes.
Composée en 1948, la Suite en si mineur est écrite pour trio d'anches. Sous cette forme, elle fut créée presque simultanément en février 1949 à Radio-Algérie et au Studio Aletti dans le cadre des concerts du Conservatoire d'Alger par le trio René Looten, Jean Lapierre et Léopold Icard. En 1954, le compositeur la transcrivit pour orchestre symphonique et elle fut donnée ainsi sous sa direction, le 10 novembre 1957 à la Salle Pierre Bordes. De forme binaire, strictement classique, cette Suite en cinq parties cherche à retrouver l'esprit des clavecinistes français et emploie l'écriture contrapuntique chère à Gontran Dessagnes.
Composée en 1948, la Suite en si mineur est écrite pour trio d'anches. Sous cette forme, elle fut créée presque simultanément en février 1949 à Radio-Algérie et au Studio Aletti dans le cadre des concerts du Conservatoire d'Alger par le trio René Looten, Jean Lapierre et Léopold Icard. En 1954, le compositeur la transcrivit pour orchestre symphonique et elle fut donnée ainsi sous sa direction, le 10 novembre 1957 à la Salle Pierre Bordes. De forme binaire, strictement classique, cette Suite en cinq parties cherche à retrouver l'esprit des clavecinistes français et emploie l'écriture contrapuntique chère à Gontran Dessagnes.
Composée en 1948, la Suite en si mineur est écrite pour trio d'anches. Sous cette forme, elle fut créée presque simultanément en février 1949 à Radio-Algérie et au Studio Aletti dans le cadre des concerts du Conservatoire d'Alger par le trio René Looten, Jean Lapierre et Léopold Icard. En 1954, le compositeur la transcrivit pour orchestre symphonique et elle fut donnée ainsi sous sa direction, le 10 novembre 1957 à la Salle Pierre Bordes. De forme binaire, strictement classique, cette Suite en cinq parties cherche à retrouver l'esprit des clavecinistes français et emploie l'écriture contrapuntique chère à Gontran Dessagnes.
Composée en 1948, la Suite en si mineur est écrite pour trio d'anches. Sous cette forme, elle fut créée presque simultanément en février 1949 à Radio-Algérie et au Studio Aletti dans le cadre des concerts du Conservatoire d'Alger par le trio René Looten, Jean Lapierre et Léopold Icard. En 1954, le compositeur la transcrivit pour orchestre symphonique et elle fut donnée ainsi sous sa direction, le 10 novembre 1957 à la Salle Pierre Bordes. De forme binaire, strictement classique, cette Suite en cinq parties cherche à retrouver l'esprit des clavecinistes français et emploie l'écriture contrapuntique chère à Gontran Dessagnes.
Composée en 1948, la Suite en si mineur est écrite pour trio d'anches. Sous cette forme, elle fut créée presque simultanément en février 1949 à Radio-Algérie et au Studio Aletti dans le cadre des concerts du Conservatoire d'Alger par le trio René Looten, Jean Lapierre et Léopold Icard. En 1954, le compositeur la transcrivit pour orchestre symphonique et elle fut donnée ainsi sous sa direction, le 10 novembre 1957 à la Salle Pierre Bordes. De forme binaire, strictement classique, cette Suite en cinq parties cherche à retrouver l'esprit des clavecinistes français et emploie l'écriture contrapuntique chère à Gontran Dessagnes.