« D'un mouvement répétitif et décontracté, un jeu polymodal en sol se dessine. Modes doriens, éoliens et lydiens se manifestent. Un passage en ré, pôle de la dominante, relance l'élan vers le final en sol M / min. Voici un clin d'œil à Philip Glass et l'économie de moyens ». Étienne ROLIN
« Un solo pentaphone en évocation des Oiseaux Tristes du compositeur basque, amène les trois partenaires sur un discours harmonique ponctué par quintes et mouvements parallèles. Une fin en harmonique offre une légèreté bienvenue ». Étienne ROLIN
« Cet hommage à Webern représente l'essence même du titre de l'ensemble des pièces. À chaque membre du quatuor sont confiées 3 notes à développer progressivement. Mais les machines doivent un jour se détraquer ! Le jeu sur l'espace par les grands intervalles septièmes, neuvièmes et l'indispensable triton, donne ce sentiment d'intense apesanteur tonale ». Étienne ROLIN
« Pour conclure ce cahier de quatre hommages, j'ai souhaité regrouper sous forme de flashback, les caractéristiques des morceaux précédents. Répétitions de cellules harmoniquement denses crées un univers de minimalisme en changement organique et continu. L'articulation par axes autour de si et de mi éclaire la partie centrale avec la guitare au premier plan. Le final qui installe un certain calme est un clin d'œil au moment éthéré du troisième hommage à Ravel ». Étienne ROLIN
« Provenant de l’exemplaire autographe d’un particulier piémontais, cette « Serenatella » pour mandoline de Pietro Mascagni, dédiée à « la très aimable demoiselle Daria Giacomelli », a récemment refait surface. Selon Cesare Orselli, musicologue spécialiste du compositeur, l’œuvre remonte au tout début des années 1880. Cette romance composée comme une « petite sérénade » préfigure le prélude de l’acte I de Guglielmo Ratcliff, sombre drame de Heine chargé d’un potentiel émotionnel fondamental et moment fort de l’opéra romantique italien […] ». Vincent BEER-DEMANDER
« Ce cahier de quatre hommages est dédié à Vincent Beer-Demander et au Quatuor à Plectres de France. L'illustration de couverture Black Rosace est une recherche de nuances infimes d'une même palette réduite. Cordes frottées, grattées et griffées... Tout est dans la variété du contrepoint d'articulation et de texture. » Étienne Rolin
« Dédié au Quatuor à Plectres de France, Ennio est un hommage à Ennio Morricone. Il s’adresse également à Luciano Berio qui a su se libérer de l’espace esthétique musical du XXe siècle, en n’hésitant pas à concevoir ses merveilleux folksongs. Ma démarche nomade est comme un océan acoustique sur lequel je peux naviguer librement et croiser des archipels de cultures historiques, sociales ou géographiques. Avec cette œuvre, l’Italie, la mandoline et la tarentelle émergent comme une source vive d’inspiration souhaitant s’insérer dans notre espace acoustique contemporain […] ». François Rossé
« lnspirée par les sonorités à la fois brillantes et expressives des cordes pincées, la suite Azuréenne a été écrite dans l’esprit d'une suite de danses. Elle s’ouvre sur une farandole provençale très festive et rythmée suivie d’une valse où les mandolines s'entremêlent dans une atmosphère plus mélancolique. Une chanson lente et mélodieuse vient ponctuer l’œuvre d’un moment nostalgique pour s’achever par un tango au rythme bien caractéristique. Une composition originale dont l’attrait réside dans le contraste entre danses populaires et danses classiques ainsi que dans le charme de ses mélodies et la douceur de ses harmonies. » Jean-François Fabiani
« lnspirée par les sonorités à la fois brillantes et expressives des cordes pincées, la suite Azuréenne a été écrite dans l’esprit d'une suite de danses. Elle s’ouvre sur une farandole provençale très festive et rythmée suivie d’une valse où les mandolines s'entremêlent dans une atmosphère plus mélancolique. Une chanson lente et mélodieuse vient ponctuer l’œuvre d’un moment nostalgique pour s’achever par un tango au rythme bien caractéristique. Une composition originale dont l’attrait réside dans le contraste entre danses populaires et danses classiques ainsi que dans le charme de ses mélodies et la douceur de ses harmonies. » Jean-François Fabiani
« lnspirée par les sonorités à la fois brillantes et expressives des cordes pincées, la suite Azuréenne a été écrite dans l’esprit d'une suite de danses. Elle s’ouvre sur une farandole provençale très festive et rythmée suivie d’une valse où les mandolines s'entremêlent dans une atmosphère plus mélancolique. Une chanson lente et mélodieuse vient ponctuer l’œuvre d’un moment nostalgique pour s’achever par un tango au rythme bien caractéristique. Une composition originale dont l’attrait réside dans le contraste entre danses populaires et danses classiques ainsi que dans le charme de ses mélodies et la douceur de ses harmonies. » Jean-François Fabiani
« lnspirée par les sonorités à la fois brillantes et expressives des cordes pincées, la suite Azuréenne a été écrite dans l’esprit d'une suite de danses. Elle s’ouvre sur une farandole provençale très festive et rythmée suivie d’une valse où les mandolines s'entremêlent dans une atmosphère plus mélancolique. Une chanson lente et mélodieuse vient ponctuer l’œuvre d’un moment nostalgique pour s’achever par un tango au rythme bien caractéristique. Une composition originale dont l’attrait réside dans le contraste entre danses populaires et danses classiques ainsi que dans le charme de ses mélodies et la douceur de ses harmonies. » Jean-François Fabiani
« lnspirée par les sonorités à la fois brillantes et expressives des cordes pincées, la suite Azuréenne a été écrite dans l’esprit d'une suite de danses. Elle s’ouvre sur une farandole provençale très festive et rythmée suivie d’une valse où les mandolines s'entremêlent dans une atmosphère plus mélancolique. Une chanson lente et mélodieuse vient ponctuer l’œuvre d’un moment nostalgique pour s’achever par un tango au rythme bien caractéristique. Une composition originale dont l’attrait réside dans le contraste entre danses populaires et danses classiques ainsi que dans le charme de ses mélodies et la douceur de ses harmonies. » Jean-François Fabiani
« Barcaróla provient d’un ensemble d’études pour piano que j’ai composées à l’origine pour des instruments ayant moins de 61 touches comme de nombreux claviers électriques. Je les ai appelés Etuditinas. J’ai copié l’idée sur la célèbre série d’études de piano du compositeur français Charles-Valentin Morhange dit Alkan (1813-1888). Influencé par la merveilleuse étude en La bémol Majeur pour la main droite, j’ai composé Barcaróla pour deux mandolines ». Philip DeWalt
« Ouroboros a été créée dans l’esprit de l’ouverture orchestrale d’un poème symphonique. L’objectif était de composer une œuvre aussi importante et stimulante que celle que l’on trouve dans la littérature orchestrale classique. La pièce commence par une section lente et lyrique, dont le tempo et la dynamique progressent à travers une série de variations suivies par une période apocalyptique revenant au sujet d’ouverture. Le climax de l’œuvre se produit immédiatement avant l’épilogue. Ouroboros faire référence à la structure de la composition qui nous ramène au thème initial ». Philip DeWalt
« Sans doute l'une des œuvres les plus populaires du prêtre roux, le Concerto en Do Majeur RV425 est inscrit depuis longtemps déjà au répertoire des mandolinistes. Pourtant, une réduction avec guitare de cette œuvre pour mandoline et cordes manquait encore à l'édition musicale. C'est chose faite avec la présente version […] ». Matthias Collet