« Barcaróla provient d’un ensemble d’études pour piano que j’ai composées à l’origine pour des instruments ayant moins de 61 touches comme de nombreux claviers électriques. Je les ai appelés Etuditinas. J’ai copié l’idée sur la célèbre série d’études de piano du compositeur français Charles-Valentin Morhange dit Alkan (1813-1888). Influencé par la merveilleuse étude en La bémol Majeur pour la main droite, j’ai composé Barcaróla pour deux mandolines ». Philip DeWalt
« Ouroboros a été créée dans l’esprit de l’ouverture orchestrale d’un poème symphonique. L’objectif était de composer une œuvre aussi importante et stimulante que celle que l’on trouve dans la littérature orchestrale classique. La pièce commence par une section lente et lyrique, dont le tempo et la dynamique progressent à travers une série de variations suivies par une période apocalyptique revenant au sujet d’ouverture. Le climax de l’œuvre se produit immédiatement avant l’épilogue. Ouroboros faire référence à la structure de la composition qui nous ramène au thème initial ». Philip DeWalt
« Les lignes de fuite guident le regard de l’observateur. Elles donnent de la profondeur à la représentation visuelle, en amenant les yeux à les suivre jusqu’au bout de l’image. Leur convergence les entraîne à se rejoindre en un seul point, souvent à l’horizon. […] Ces lignes de fuite sont elles-mêmes figées dans le bois des lames du xylophone (lignum en latin = bois) conséquences ultimes de la poétique d’un temps à jamais disparu… ». Marybel Dessagnes
« Sans doute l'une des œuvres les plus populaires du prêtre roux, le Concerto en Do Majeur RV425 est inscrit depuis longtemps déjà au répertoire des mandolinistes. Pourtant, une réduction avec guitare de cette œuvre pour mandoline et cordes manquait encore à l'édition musicale. C'est chose faite avec la présente version […] ». Matthias Collet
« Tout juste diplômé du Conservatoire de Moscou, Sergueï Rachmaninov n'a que 19 ans, en 1892, lorsqu'il compose ses Morceaux de Fantaisie opus 3. Les mots de Tchaïkovsky - Alors, Serioja, il paraît que vous écrivez déjà des chefs-d’œuvre ? - en disent long sur la qualité de ces pièces et le talent du jeune compositeur. L'Élégie, qui ouvre ce cycle pour piano, est un long chant, lyrique et nostalgique, qui semble sourdre de l'âme russe. Dans cette transcription, j'ai cherché à servir autant que possible le texte original, tout en ayant recours aux idiomatismes de la mandoline (trémolo, registre aïgu) et de la guitare (arpèges, cordes à vide). Je tiens particulièrement à remercier Natalia Korsak pour ses conseils et la réalisation des doigtés de la partie de mandoline ». Matthias Collet
« Un être se retirant quelque peu du monde, se sentant abandonné, non écouté, non considéré, vagabondant, se remémorant certaines scènes de sa vie, faisant le point sur ses émotions et tentant d'en tirer quelque chose. De la nostalgie, de la tristesse, des regrets. De la colère. Un sentiment de haine. Haine de soi-même, ou haine de l'autre, des autres ? Cette question, comme tant d'autres, comme tout ce qui s'accumule dans son esprit, fait d'images, de contradictions, l'étouffe [...] ». Paul Visseaux
« La composition de ce Puzzle résonnant s'est déclenchée après avoir écouté le jeu remarquable d'Adélaïde Ferrière. La pièce est venue en une dizaine de jours seulement. Elle est construite autour de trois éléments distincts. […] À la manière d'un puzzle, ces différents éléments s'attireront et s'éloigneront et la résonnance de la pédale du vibraphone amènera le liant qui permettra le déplacement d'une couleur à une autre, d'un élément à un autre. La pièce est dédiée à Adélaïde Ferrière, à son jeu remarquable de sensibilité, de musicalité et de virtuosité ». Florent Gauthier
« Au mois de janvier de cette année 2021, nous discutions influences et goûts musicaux avec Vlad Bogdanas (l'altiste du quatuor Danel). Au détour de cet échange, il me demanda si j'avais dans mon catalogue une pièce pour alto seul. L'idée de lui écrire une pièce a donc germé très rapidement et « Sabbath Bloody Viola » fût composée entre le 27 janvier et le 8 février. […] Le titre est un hommage au groupe anglais Black Sabbath ». Florent Gauthier
« Double Chœur pour ensemble de saxophones (2 sextettes) a été créé à l’église Saint-MERRI à Paris en février 2009. C’est une commande de l’association Saxiana pour le troisième Festival Saxophones en Fête. Le concept de ce double Chœur est celui utilisé par Giovanni GABRIELI, c’est à dire l’effet impressionnant des chœurs alternés ou en écho. […] Ici, une partie facile peut-être jouée par des saxophonistes débutants en 2ème année ». Philippe Portejoie
« J’ai écrit cette suite pour piano à quatre mains - L’Enfant aux mille parfums -, sur la proposition de Charlotte Campana, directrice du Conservatoire Intercommunal de la Provence Verte, à Brignoles (83), et des professeurs du département piano […]. Chikako (trad. : L’Enfant aux mille parfums) est directement inspiré de l’univers coloré des dessins animés japonais d’Hayao Miyazaki. C’est une ballade joyeuse et pleine d’insouciance. Le titre Chikako est un prénom Japonais ». Nicolas Mazmanian
« J’ai écrit cette suite pour piano à quatre mains - L’Enfant aux mille parfums -, sur la proposition de Charlotte Campana, directrice du Conservatoire Intercommunal de la Provence Verte, à Brignoles (83), et des professeurs du département piano […]. Blue square est une pièce très énergique avec des sonorités blues et rock. Au raffinement de la première pièce s’oppose ici une pièce martiale et pleine d’humour. C’est l’occasion pour les pianistes de se défouler ! ». Nicolas Mazmanian
« J’ai écrit cette suite pour piano à quatre mains - L’Enfant aux mille parfums -, sur la proposition de Charlotte Campana, directrice du Conservatoire Intercommunal de la Provence Verte, à Brignoles (83), et des professeurs du département piano […]. Valse fait référence à la musique Française par sa légèreté et notamment à un des sommets du quatre mains : Dolly de Gabriel Fauré. Tout ici est - sucreries et viennoiseries - ». Nicolas Mazmanian
« J’ai écrit cette suite pour piano à quatre mains - L’Enfant aux mille parfums -, sur la proposition de Charlotte Campana, directrice du Conservatoire Intercommunal de la Provence Verte, à Brignoles (83), et des professeurs du département piano […]. Danse latine invite les interprètes dans l’imaginaire latin de la danse et de la passion, le tout sous une chaleur accablante… ». Nicolas Mazmanian
« J’ai écrit cette suite pour piano à quatre mains - L’Enfant aux mille parfums -, sur la proposition de Charlotte Campana, directrice du Conservatoire Intercommunal de la Provence Verte, à Brignoles (83), et des professeurs des classes de piano. L’idée était de composer quatre pièces de caractère et d’inspiration très différentes.
Chikako (trad. : L’Enfant aux mille parfums) est directement inspiré de l’univers coloré des dessins animés japonais d’Hayao Miyazaki. C’est une ballade joyeuse et pleine d’insouciance. Le titre Chikako est un prénom Japonais.
Blue square est une pièce très énergique avec des sonorités blues et rock. Au raffinement de la première pièce s’oppose ici une pièce martiale et pleine d’humour. C’est l’occasion pour les pianistes de se défouler !
Valse fait référence à la musique Française par sa légèreté et notamment à un des sommets du quatre mains : Dolly de Gabriel Fauré. Tout ici est - sucreries et viennoiseries -.
Danse latine invite les interprètes dans l’imaginaire latin de la danse et de la passion, le tout sous une chaleur accablante… ». Nicolas Mazmanian
« Écrites entre le 3 et le 12 novembre 2020, les pièces Voici venir..., reflètent l’ambiance du moment. À cette époque, chacun se posait la question du Quand verrons-nous le beau temps ? Quand retrouverons-nous plus de liberté ? Au détour d’une improvisation, l’idée m’est venue d’exploiter cette envie de voir venir les jours meilleurs, en revivant chacune des saisons jusqu’à obtenir un sentiment de plénitude et de calme enfin retrouvé. […] Une interprétation des quatre pièces sous forme de Suite devra respecter l’ordre des saisons à partir de l’automne. La période vécue y est forcément pour quelque chose... ». Pascal Rault