« Les SIX SONGS pour chœur d’enfants et orchestre à plectres sont une réorchestration complète des parties chorales de l’oratorio Météoriques, commande de l’Ensemble C Barré sur un livret de Catherine Peillon. Cette fable joyeuse et cruelle se situe dans le temps du mythe mais les résonances avec notre actualité écologique rebondissent et éclaboussent nos certitudes. L’œuvre s’est vue décerner le Prix de l’Enseignement 2018 par la Chambre syndicale des Éditeurs de Musique de France, dans la catégorie création d’une nouvelle œuvre à dominante musicale pour de jeunes interprètes ». Philippe Boivin et Catherine Peillon
« Les SIX SONGS pour chœur d’enfants et orchestre à plectres sont une réorchestration complète des parties chorales de l’oratorio Météoriques, commande de l’Ensemble C Barré sur un livret de Catherine Peillon. Cette fable joyeuse et cruelle se situe dans le temps du mythe mais les résonances avec notre actualité écologique rebondissent et éclaboussent nos certitudes. L’œuvre s’est vue décerner le Prix de l’Enseignement 2018 par la Chambre syndicale des Éditeurs de Musique de France, dans la catégorie création d’une nouvelle œuvre à dominante musicale pour de jeunes interprètes ». Philippe Boivin et Catherine Peillon
« Les SIX SONGS pour chœur d’enfants et orchestre à plectres sont une réorchestration complète des parties chorales de l’oratorio Météoriques, commande de l’Ensemble C Barré sur un livret de Catherine Peillon. Cette fable joyeuse et cruelle se situe dans le temps du mythe mais les résonances avec notre actualité écologique rebondissent et éclaboussent nos certitudes. L’œuvre s’est vue décerner le Prix de l’Enseignement 2018 par la Chambre syndicale des Éditeurs de Musique de France, dans la catégorie création d’une nouvelle œuvre à dominante musicale pour de jeunes interprètes ». Philippe Boivin et Catherine Peillon
« Dédié au Quatuor à Plectres de France, Ennio est un hommage à Ennio Morricone. Il s’adresse également à Luciano Berio qui a su se libérer de l’espace esthétique musical du XXe siècle, en n’hésitant pas à concevoir ses merveilleux folksongs. Ma démarche nomade est comme un océan acoustique sur lequel je peux naviguer librement et croiser des archipels de cultures historiques, sociales ou géographiques. Avec cette œuvre, l’Italie, la mandoline et la tarentelle émergent comme une source vive d’inspiration souhaitant s’insérer dans notre espace acoustique contemporain […] ». François Rossé
« lnspirée par les sonorités à la fois brillantes et expressives des cordes pincées, la suite Azuréenne a été écrite dans l’esprit d'une suite de danses. Elle s’ouvre sur une farandole provençale très festive et rythmée suivie d’une valse où les mandolines s'entremêlent dans une atmosphère plus mélancolique. Une chanson lente et mélodieuse vient ponctuer l’œuvre d’un moment nostalgique pour s’achever par un tango au rythme bien caractéristique. Une composition originale dont l’attrait réside dans le contraste entre danses populaires et danses classiques ainsi que dans le charme de ses mélodies et la douceur de ses harmonies. » Jean-François Fabiani
« lnspirée par les sonorités à la fois brillantes et expressives des cordes pincées, la suite Azuréenne a été écrite dans l’esprit d'une suite de danses. Elle s’ouvre sur une farandole provençale très festive et rythmée suivie d’une valse où les mandolines s'entremêlent dans une atmosphère plus mélancolique. Une chanson lente et mélodieuse vient ponctuer l’œuvre d’un moment nostalgique pour s’achever par un tango au rythme bien caractéristique. Une composition originale dont l’attrait réside dans le contraste entre danses populaires et danses classiques ainsi que dans le charme de ses mélodies et la douceur de ses harmonies. » Jean-François Fabiani
« lnspirée par les sonorités à la fois brillantes et expressives des cordes pincées, la suite Azuréenne a été écrite dans l’esprit d'une suite de danses. Elle s’ouvre sur une farandole provençale très festive et rythmée suivie d’une valse où les mandolines s'entremêlent dans une atmosphère plus mélancolique. Une chanson lente et mélodieuse vient ponctuer l’œuvre d’un moment nostalgique pour s’achever par un tango au rythme bien caractéristique. Une composition originale dont l’attrait réside dans le contraste entre danses populaires et danses classiques ainsi que dans le charme de ses mélodies et la douceur de ses harmonies. » Jean-François Fabiani
« lnspirée par les sonorités à la fois brillantes et expressives des cordes pincées, la suite Azuréenne a été écrite dans l’esprit d'une suite de danses. Elle s’ouvre sur une farandole provençale très festive et rythmée suivie d’une valse où les mandolines s'entremêlent dans une atmosphère plus mélancolique. Une chanson lente et mélodieuse vient ponctuer l’œuvre d’un moment nostalgique pour s’achever par un tango au rythme bien caractéristique. Une composition originale dont l’attrait réside dans le contraste entre danses populaires et danses classiques ainsi que dans le charme de ses mélodies et la douceur de ses harmonies. » Jean-François Fabiani
« lnspirée par les sonorités à la fois brillantes et expressives des cordes pincées, la suite Azuréenne a été écrite dans l’esprit d'une suite de danses. Elle s’ouvre sur une farandole provençale très festive et rythmée suivie d’une valse où les mandolines s'entremêlent dans une atmosphère plus mélancolique. Une chanson lente et mélodieuse vient ponctuer l’œuvre d’un moment nostalgique pour s’achever par un tango au rythme bien caractéristique. Une composition originale dont l’attrait réside dans le contraste entre danses populaires et danses classiques ainsi que dans le charme de ses mélodies et la douceur de ses harmonies. » Jean-François Fabiani
« Ouroboros a été créée dans l’esprit de l’ouverture orchestrale d’un poème symphonique. L’objectif était de composer une œuvre aussi importante et stimulante que celle que l’on trouve dans la littérature orchestrale classique. La pièce commence par une section lente et lyrique, dont le tempo et la dynamique progressent à travers une série de variations suivies par une période apocalyptique revenant au sujet d’ouverture. Le climax de l’œuvre se produit immédiatement avant l’épilogue. Ouroboros faire référence à la structure de la composition qui nous ramène au thème initial ». Philip DeWalt
« Un être se retirant quelque peu du monde, se sentant abandonné, non écouté, non considéré, vagabondant, se remémorant certaines scènes de sa vie, faisant le point sur ses émotions et tentant d'en tirer quelque chose. De la nostalgie, de la tristesse, des regrets. De la colère. Un sentiment de haine. Haine de soi-même, ou haine de l'autre, des autres ? Cette question, comme tant d'autres, comme tout ce qui s'accumule dans son esprit, fait d'images, de contradictions, l'étouffe [...] ». Paul Visseaux