« Cette pièce débute par une valse lente […] suivi d’une section piu vivo faisant apparaître un court thème au piano la rendant très active. [...] La réexposition du thème initial alterne et contraste avec une section vivo, plus âpre et tendue amenant à une partie cadencée. Enfin, la coda molto vivo conclut la pièce de manière éclatante ». Hervé POULIQUEN
« Pièce essentiellement rythmique reposant sur un groove réparti aux deux bassons. Progressivement, la rythmique s’enrichit pour devenir plus saccadée, plus irrégulière où les deux instruments se répondent. Des arrêts soudains viennent interrompre le discours, comme une apnée […] ». Hervé POULIQUEN
« Je suis né près d’Hiroshima, 15 ans après la tragédie. Mes proches m’ont souvent racontés l’histoire de la ville à travers leurs propres vécus […]. Cette œuvre musicale atonale et poétique est l’expression d’un profond sentiment de frayeur et de tristesse qui est en moi |…], que je veux partager pour que l’humanité n’oublie pas et ne revive jamais cela ». Takashi OGAWA
« En me laissant inspirer par le mouvement de l’océan, Hakumeï (vague à l’aube) est une œuvre atonale en trois scènes décrivant une vague seule, une mer agitée et une mer calme et paisible, à l’aube. Elle est née d’une de mes images de voyage pour un esprit nostalgique et des doigts de pianiste, de niveau moyen / cycle 2 ». Takashi OGAWA
« Selon la légende, un chevalier qui se noyait après être tombé à l’eau en cueillant un Wasurenagusa (myosotis) à sa dame, lança la fleur en criant : Ne m’oubliez pas ! Une suite de 4 pièces, de niveau 4/5 (difficile / cycle 3), avec un prologue et un épilogue ». Takashi OGAWA
« 25 petits clichés-souvenirs de voyage sous forme d’exercices et pratiques progressifs du niveau 1 à 2 (très facile à facile / débutant à cycle 1). À chaque page, 2 à 4 exercices […] précèdent quelques très courts morceaux. Une manière simple d’allier apprentissage instrumental et plaisir musical ». Takashi OGAWA
« Cette pièce m'est venue assez facilement, en improvisant après une période très influencée par la musique sud-américaine et les pièces de Rolland DYENS : Saudade 1, 2, 3 ». Denis ABBATE
« C’est après un atelier d'improvisation libre avec Denis BADAULT, pianiste de jazz, que j’ai créé le thème principal puis l’accompagnement de Nordway. […] Les nombreuses improvisations qui ont suivi au sein du Bad’Octet m’ont permis de faire, évoluer le thème […] avant que l’univers des fjords norvégiens finissent de nourrir mon inspiration ». Denis ABBATE
« J'ai retrouvé dans ce morceau ma passion pour Schubert… Plus tard, j'ai découvert l'influence d'une étude romantique d'Emilio PUJOL ». Denis ABBATE
« C’est particulièrement le rubato de la première partie du Choro de saudade d’Augustin BARRIOS qui m’a inspiré pour improviser, puis composer ce prélude ». Denis ABBATE
« J’ai improvisé cette pièce, il y a longtemps, en imaginant le déploiement des résonances acoustiques dans l'espace ou celles des ronds dans l'eau. C’est à partir de cette étape que je commence vraiment à réfléchir à la forme de mes œuvres en prenant mon temps pour les achever ». Denis ABBATE
« La première partie en mineur a été écrite lors d’un constat amoureux douloureux. Sa brièveté m'a donné envie, en suivant les pas de Francisco TÁRREGA, de l'enrichir d'une partie majeure. La pièce a enfin trouvé son équilibre ! ». Denis ABBATE
« J'essayais vainement de travailler ma guitare pour un concours avec mon enfant Aurélien qui avait 2 ans à mes pieds et qui pleurait, lorsque je commençais à improviser quelque chose de gai. Mon enfant s’est calmé puis a éprouvé beaucoup de joie lorsque cette petite valse musette qui tend vers la java est apparue sous mes doigts… ». Denis ABBATE
« Ces 3 tangos sont des pièces originales, pourtant vous aurez l’impression de les avoir déjà entendus... Les deux premiers sont destinés aux débutants […]. Le troisième est un peu plus avancé mais reste de niveau 2/5 (facile / cycle 1) ». Takashi OGAWA
« Sous une nuit étoilée de ma région de Tarbes, j’ai pris ma guitare […] Étrangement, des mélodies en formes de valses se sont petit à petit construites sous mes doigts... […] Mon cœur français venait de me transporter vers les musiques de FERRÉ, BREL, PIAF ou BRASSENS que j’écoutais dans ma jeunesse […] ». Takashi OGAWA